L’absurdité dans le roman

4.2.1 L’absurdité dans le roman

  Au début de l’histoire, le narrateur décrit l’absurdité dans la vie des citoyens. C’est la citation qui indique l’activité routine qui est fait toujours par les citoyens d’Oran. (31) Une manière commode de faire la connaissance d'une ville est de chercher

  comment on y travaille, comment on y aime et comment on y meurt. Dans notre petite ville, est-ce l'effet du climat, tout cela se fait ensemble, du même air frénétique et absent. C'est-à-dire qu'on s'y ennuie et qu'on s'y applique à prendre des habitudes. (LP10).

  Avant que la peste frappe la ville d’Oran, les citoyens vivent dans l’activité routine. Ils répètent toujours la même activité dans ses vies. La phrase « C'est-à- dire qu'on s'y ennuie et qu'on s'y applique à prendre des habitudes. » confirme que les citoyens perdent ses désirs de faire quelque chose différent de sa routine même ils sont ennuyeux. . L’absurdité est indiquée sur les habitudes de la vie des citoyens. Ils ne peuvent pas faire la révolte contre la routine même ils sont ennuyeux. Ils ne sont pas consciences les sens de leur vies. Ils reçoivent seulement cette condition et ils ne peuvent pas la changer

  Quand la peste attaque la ville, la plupart des citoyens ne font rien. Dans la citation suivante, les citoyens espèrent seulement la meilleure condition sans faire les efforts. (32) Ainsi, chacun dut accepter de vivre au jour le jour, et seul en face du ciel.

  Cet abandon général qui pouvait à la longue tremper les caractères commençait pourtant par les rendre futiles. Pour certains de nos concitoyens, par exemple, ils étaient alors soumis à un autre esclavage qui les mettait au service du soleil et de la pluie. (LP73).

  Selon Camus, les êtres humains en face toujours de problèmes de ses vies. La seule façon pour la termine, ils doivent faire la révolte en affrontant des problèmes. Cette citation explique que les citoyens sont désespéré affrontent les conditions. Certains d’entre eux font quelque chose bizarre. Dans la citation ci- dessus, ils deviennent un esclavage du soleil et de la pluie. Ils sont heureux quand le soleil apparait et ils sont tristes quand la pluie arrive. Basée sur cette condition, les habitants d’Oran rencontrent les problèmes mais ils ne peuvent pas prendre de mesure pour les terminer. Ils n’ont pas aussi l’espoir en face de problèmes. On peut dire, ils ne fait pas la révolte sur l’épidémie.

  Pendant de l’épidémie, le Père Paneloux a une fièvre. Il refuse l’aider de sa logeuse. Il refuse quand sa logeuse offre d’appeler le médecin. (33) Dans l'après-midi, cependant, elle essaya de parler au prêtre et ne reçut en

  réponse que quelques paroles confuses. Elle renouvela sa proposition. Mais, alors, le Père se releva et, étouffant à demi, il lui répondit distinctement qu'il ne voulait pas de médecin. (LP211).

  La condition du père Paneloux est une condition absurde. Le père Paneloux est pasteur, il croit seulement en Dieu. Mais, quand il était malade, il ne fait rien sauf espérer à Dieu pour la santé. C’est une condition absurde. Bien sûr il n’est pas

  de personne qui fait la révolte. La mort est une certainement et nous devons faire la

  révolte à la mort. La manière est prend de mesures nécessaires pour rester en vie. S’il n y a pas des efforts et des mesures, la condition d’humain ne peut pas changer. Albert Camus décrit que le père Paneloux ne fait pas la révolte sur l’absurdité. À la fin, le père Paneloux est mort à cause de cette maladie.