L’analyse Structurale du poème “Le Bateau Ivre”

séquence qui nous facilite pour analyser. Les vers de la poésie “Le Bateau Ivre ” se composent de 47 phrases qui montrent de personnage principal “je” tels que un bateau. Alors que l‟histoire de cette poésie est divisée en trois séquences. La première séquence qui est contenu dans cinq premières strophes raconte le début d‟un bateau rompt. La deuxième séquence qui est contenu de strophes 6 à strophes 17 raconte les aventures maritimes du bateau. La troisième séquence qui est contenu de strophes 18 à strophes 25 raconte l‟épuisement de bateau, sa nostalgique du vieux monde, et les beautés nature deviennent sa consolation jusqu‟à la fin, il est déterminé à se noyer. La quatrième étape est l‟analyse de l‟aspect sémantique. Dans cet aspect, le sens de la poésie n‟est pas seulement pris par le sens dénotatif et la figure de style, mais aussi soutenu par l‟effet d‟assonance, l‟allitération, la métrique et le syntaxique qui est formé les vers deviennent un phrase. Il existe des styles figuratifs en forme de comparaison, de métaphore, d‟hyperbole, de personnification, d‟ironie et de synecdoque. De par ces aspects, on trouve la signification de la poésie globalement. La poésie “Le Bateau Ivre” représente un bateau navigué, coulé lentement parce qu‟il est cambriolé par les Peaux-Rouges dans son voyage. Il est navigué jusqu‟à la mer, où il doit affronter le flot en furie, un monstre aquatique, l‟éclair et la trombe. Mais d‟autre part, il peut jouir de beauté de la nature, entre autres, la beauté de l‟aube, le charme de la mer et l‟atmosphère sublime de soir. Cette condition qui est contraire, fait le bateau veut rentrer au vieux monde c‟est-à-dire le début de la condition avant cet accident. La douleur, malheureuse et misérable trop longtemps pour le faire renoncer à la situation, donc il décide de se noyer dans la mer. Dans cette poésie, il y a trois figures qui sont utilisé souvent. Ce sont la figure métaphorique, personnification et comparaison. Les figures métaphoriques sont utilisées pour représenter une image du flot et des beautés de la nature. Prenons l‟exemple la métaphore qui se trouve dans la strophe 5 Plus douce quaux enfants la chair des pommes sûres, le flot est comparé à la pomme sure qui donne une image de gout de l‟eau de mer mélangé avec des taches de vins. Ensuite dans la strophe 7, la force de flot est comparée à un alcool. L‟alcool qui a des effets enivrants, et qui rendre un personne dans la condition anormal. Pour montrer une image des beautés de la nature, le narrateur utilise le mot lactescent pour représenter les nuages se trouvant dans la strophe 6. Dans la strophe 10, les animales de la mer est comparé avec des phosphores. Ensuite, la pieuvre est comparée avec ventouses jaunes et les végétations marines sont assimilées avec les cheveux des anses. Dans la strophe 19, le soleil brille dans le ciel est comme Des lichens de soleil et des traînées de ciel bleu sont comme des morves dazur. Dans cette poésie, il existe aussi la figure personnification. Cette figure se trouve sur la quatrième strophe La tempête a béni mes éveils maritimes. La tempête a un comportement ainsi qu‟un dieu est renforcé par le verbe „bénir’. La beauté de la nature se trouve aussi dans la strophe 15 Du flot bleu, ces poissons dor, ces poissons chantants. Il a y aussi la figure personnification dans la strophe 16 La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux, donc la mer est représentée comme une personne qui peut sangloter. L‟autre personnification dans cette poésie se trouve dans la strophe Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques. Le juillet qui est un des mois peut couler comme une personne. L‟utilisation de la figure comparaison dans cette poésie se trouve dans la première strophe de la première à la deuxième ligne Comme je descendais des Fleuves impassibles, je ne me sentis plus guidé par les haleurs. C‟est le début de problème. Dans la quatrième strophe, il existe la figure comparaison Plus léger quun bouchon jai dansé sur les flots. Cette phrase raconte le bateau qui est balloté par les flots. Puis, le langage figuratif se trouve dans la huitième strophe LAube exaltée ainsi quun peuple de colombes. La figure comparaison contenue aussi dans la neuvième strophe de la troisième a la quatrième ligne Pareils à des acteurs de drames très antiques, les flots roulant au loin leurs frissons de volets. Cette phrase Jai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries contenue la figure comparaison qui se trouve dans la onzième strophe. La strophe suivant, il y a aussi la figure comparaison Des arcs-en-ciel tendus comme des brides. La dernière comparaison dans cette poésie est Et je restais, ainsi quune femme à genoux.

2. L’analyse Sémiotique du poème “Le Bateau Ivre”

Dans cette poésie, l ‟analyse sémiotique est utilisée pour analyser des signes qui existent dans la poésie. Sur le titre Le Bateau Ivre, le narrateur rend le bateau comme si elle a un sen timent. Ce titre est l‟indice de tout du texte poésie parce qu‟il peut donner la première image du sens de poésie. Le début de problème apparait dans la première strophe, on trouve le symbole des Peaux- Rouges qui cambriolent ce bateau. C‟est-à-dire, il navigue de France en Amérique ou les choses sont volé par les Peaux-Rouges ont la forme de des blés et des cotons de les pays Européens. Ce cambriolage est au début de problème. Le problème est continué complicité et tendu quand il navigue vers la mer. Il doit affronter le soir froid de l‟hiver, le flot en furie et les phénomènes nature comme l‟éclair et la trombe. Il existe l‟icône métaphore dans la phrase Plus léger quun bouchon jai dansé sur les flots Quon appelle rouleurs éternels de victimes. Le flot qui est imaginé comme le rouleur éternel de victimes parce qu‟il englouti beaucoup de victimes donc on peut les voir dans la mer. Le soir, il doit affronter ce flot en furie où les astres qui est un indice l‟accompagnent dans le soir. On trouve l‟icône métaphore dans la phrase Plus fortes que lalcool. La force de flot est métaphoré comme l‟alcool. Cette force de flot peut rendre une personne incapable de contrôler son corps. C‟est-à-dire, il ne peut pas équilibrer le corps parce qu‟il est balloté par les flots. La force de flot peut également déformer les sentiments d‟une personne avec l‟utilisation du verbe „fermenter‟ qui est l‟icône métaphore. Lorsque le flot est calme avec le courant habituel, peut mettre quelqu‟un est à l‟aise et détendu, tandis que si le flot a un grand courant, alors le sentiment d‟une personne devient anxieux et inquiet. En outre, quand il heurte Florides et il est échoué au marais, il doit affronter le monstre aquatique effrayant qui lutte contre le tourbillon. Ce monstre qui on appelle Léviathan est le monstre aquatique mentionné dans la Bible, où il devient le symbole du paganisme. Léviathan est l‟icône métaphore. Donc, ce marais se voit horrible parce qu‟il est habité par les créatures méchantes. La condition misérable est contrastée avec la beauté de la nature qui est imaginé par le narrateur comme le coucher du soleil, les étoiles, la beauté sous la mer et un peuple de colombes en signe de l‟aube pointe. Dans les strophes 6 et 7, on trouve les icônes métaphores dans les phrases lactescent, les azurs verts, les bleuités, les rutilements du jour et l‟indice dans la phrase d’astres qui imaginent les reflets du soleil à la surface des eaux. Ensuite, dans la strophe 8, imagine accidents atmosphériques entre les éclairs, les trombes, les ressacs et les courants. Dans la strophe 9, la phrase longs figements violets qui est l‟icône métaphore, représente les nuages violets à cause du rayon de soleil qui traverse ces nuages. De se sentir triste et misérable, il a un désir de revenir à son état d‟origine. Jusqu‟à il décide de se noyer dans la mer parce qu‟il ne tient plus pour cette condition.

C. Conclusion

Se basant sur le résultat de la recherche et de l‟analyse du poème Le Bateau Ivre, nous pouvons tirer des conclusions. Cette recherche est supportée par l‟analyse structurale, qui se poursuit par l‟analyse sémiotique. L‟aspect