La Correlation Entre L’acquisition Des Connecteurs Logiques Et La Competence De Faire Une Redaction Argumentative.

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TABLE DE MATIERES

RESUME …..……… i

RESUME …..……… ii

AVANT PROPOS …..……… iii

TABLE DE MATIERES …..……… v

I. INTRODUCTION …..……… 1

1.1. Arrière de plan …..……… 1

1.2. Problématique ……… 8

1.3. Objectifs ……… 9

1.4. Points de départ ……… 9

1.5. Hypothèse ……… 10

II. PLAN THEORIQUE DES CONECTEURS LOGIQUES DANS UNE REDACTION ARGUMENTATIVE …..……….……...… 11

2.1. Définition de rédaction ……… 12

2.2. Aspect de rédaction ……… 13

2.2.1. Importance de vocabulaire dans une rédaction ……… 13

2.2.2. Importance de structures des phrases dans une rédaction ……… 15

2.2.3. Importance de cohérences dans une rédaction ……… 19

2.3. Cohérences ……… 19

2.3.1. Cohérence implicite ……… 20

2.3.2. Cohérence explicite ……… 20

2.4. Connecteurs logiques ……… 22


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2.4.2. Type et fonction ……… 26

2.5. Argumenter dans une rédaction ……… 58

2.5.1. Rédaction argumentative ……… 59

2.5.2. Stratégie d’argumenter ……… 60

2.5.3. Aspect d’argumentation ……… 63

2.5.3.1. Thèse ……… 63

2.5.3.2. Argument ……… 63

2.5.3.3. Exemple ……… 64

2.5.4. Organisation d’argumentation ……… 66

2.5.4.1. Raisonnement d’argumentation ……… 66

2.5.4.2. Composition de raisonnement ……… 69

III. METHODOLOGIE DE RECHERCHE …..…………..……… 73

3.1. Méthode de recherche ……… 73

3.2. Définition opérationnelle ……… 74

3.3. Variable de recherche ……… 75

3.4. Technique de collecte de données ……… 76

3.5. Instrument de recherche ……… 77

3.5.1. Instrument pour mesurer l’acquisition des connecteurs logiques ……… 77

3.5.1.1. Validité de test ……… 78

3.5.1.2. Fidélité de test ……… 82

3.5.2. Instrument pour mesurer la compétence de faire une rédaction argumentative ……… 84

3.6. Grille et barème ……… 84

3.6.1. Test de connecteurs logiques ……… 84


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3.7. Technique d’analyse de données ……… 89 3.7.1. Analyse de donnée de test des

connaissances des connecteurs

logiques ……… 89

3.7.2. Analyse des données du test de

rédaction argumentative ……… 90

3.7.3. Analyse de la corrélation de l’acquisition des connecteurs logiques envers compétence de

faire la rédaction argumentative ……… 93 3.8. Population et échantillon de recherche ……… 94

IV. RESULTAT DE RECHERCHE ……… 96

4.1. Vérification et résultat d’instrument de test

……… 97

4.1.1. Vérification et le résultat de Fidélité

……… 97

4.1.2. Vérification et le résultat de validité

……… 100

4.1.2.1. Consultation aux professeurs et aux experts concernés

……… 100

4.1.2.2. Méthode empirique ……… 101

4.1.3. Résultat du degré de difficulté et du degré de différence des éléments de test

……… 105

4.2. Test des connecteurs logiques ……… 106

4.2.1. Description de résultat ……… 106

4.2.2. Description de bonnes ou de mauvaises réponses et leurs


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4.3. Test de rédaction argumentative ……… 111

4.3.1. Décrire la fréquence de l’application de connecteurs logiques ……… 111

4.3.2. Décrire le pourcentage de type de connecteurs logiques présentés ……… 112

4.3.3. Décrire l’organisation d’argument ……… 113

4.3.4. Décrire le type d’argument ……… 117

4.3.5. Décrire le score de rédaction argumentative ……… 118

4.4. Analyse de contribution de l’obtention de l’acquisition des connecteurs logiques envers la compétence de faire une rédaction argumentative ……… 120

4.4.1. Normalisation de données ……… 121

4.4.2. Régression linéaire ……… 126

4.4.3. Index de la corrélation ……… 129

V. CONCLUSION ET SUGGESTIONS ... 131

5.1. Conclusion ……… 131

5.2. Suggestions ……… 134

BIBLIOGRAPHIE ……… 137

SYNOPSIS ……… 140

TABLEAU ANNEXE DOCUMENT


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CHAPITRE I

INTRODUCTION

1.1 Arrière-plan

La langue fait partie d’une culture, elle joue un rôle important dans la vie quotidienne des humains. Dans sa pratique, chaque individu essaie de l’acquérir et de l’utiliser dans la communication pour avoir l’identité d’humain. Autrement dit, cette affirmation veut dire que la langue permet aux usagers d’exprimer des idées et des sentiments et en même temps, leur permet d’échanger des informations pour se qualifier.

Dans le monde actuel, l’existence du français en tant que deuxième langue internationale après l’anglais dans plusieurs secteurs commence à prendre une place importante en Indonésie : technologie, commerce, tourisme, restauration, hôtellerie, gestion, santé, etc. Pour cette raison, beaucoup d’indonésiens prennent des cours de la langue française dans des centres culturels français ou dans des universités dans lesquelles le curricula est fixé selon quatre compétences langagières : compréhension orale, compréhension écrite, expression orale et expression écrite. Ceci a, bien entendu, pour but d’activer les compétences à l’oral ainsi qu’à l’écrit chez les apprenants.

La différence entre la langue orale et la langue écrite est que celle à l’écrit doit être transformée formellement. Elle demande beaucoup d’attention et couvre plusieurs aspects : la grammaire, le contenu et l’organisation. De plus, dans la communication orale, les locuteurs ne mettent pas en priorité la règle grammaticale et qu’ils sont beaucoup plus spontanés par rapport à la communication écrite qui demande plus de créativité et d’activité que pour la communication écrite. Une petite faute dans la langue écrite se voit alors plus facilement qu’une grande faute à l orale. Nous pouvons constater dans ce cas-là que parmi les quatre compétences,


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la production écrite est celle la plus difficile. A part transcrire des idées, il est important qu’un apprenant ait connaissance des règles grammaticales qui ne sont pas du tout faciles à maîtriser, notamment en français.

Chaque langue a ses particularités dans le domaine grammatical. La plupart des indonésiens sont déjà multilingues : les langues maternelles, l’indonésien et l’anglais. La règle grammaticale de la langue française diffère par rapport à ces autres langues. La conjugaison du verbe, la concordance du temps, le genre, les adjectifs, le mode sont des exemples des parties des règles grammaticales que doivent posséder les apprenants. Pour bien y arriver, il est inévitable qu’ils fassent des exercices et qu’ils pratiquent tant de fois que possible.

La grammaire qui fait partie de la morphosyntaxe contribue à la qualité d’une bonne rédaction comme préconise Buchori (1995:78) un étudiant de post-maîtrise d’UPI Bandung qui a fait une recherche sur ce domaine. Il trouve que l’acquisition du lexique et de la morphosyntaxe donne 34,6% de la compétence de la production écrite. Parmi la diversité des éléments grammaticaux, nous allons dans cette recherche nous pencher uniquement sur les connecteurs logiques qui sont un des éléments importants et dont le but est de relier les phrases dans une rédaction. Nous allons dire que celle-ci est cohérente lorsque les phrases s’enchaînent les unes aux autres grâce à des liens. Lorsque les liens sont clairs, le message dans cette rédaction est évidemment facile à comprendre.

Les connecteurs sont des mots de liaison. Leur but est de relier les propositions, les phrases ou les paragraphes d'un texte ou d’une rédaction. Ils servent également à situer les événements, les personnages et les objets dans l'espace et dans le temps qui marquent la progression chronologique. Ainsi, jouent-ils un rôle clé dans la progression du texte et dans la


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cohérence qui marque la progression logique. Ainsi, ils mettent l'accent sur le raisonnement qui sous-tend un texte ou une rédaction.

Dans une rédaction, un lecteur a l’occasion de libérer ses expressions : narrer, persuader, imaginer ou argumenter. Dans une argumentation, il va utiliser des moyens rationnels et logiques pour démontrer la vérité ou la fausseté d'un fait, pour convaincre l'interlocuteur de la nécessité d'agir ou de ne pas agir. Quand il va convaincre, évidemment, il va argumenter en s'adressant à la raison de l'interlocuteur. En outre, il va présenter des faits, des exemples voire il va faire appel à l'expérience. Ainsi, il va chercher à entraîner l'adhésion de l'autre pour le convaincre de façon rationnelle. En même temps, il peut chercher à séduire l'interlocuteur, à le charmer, à ridiculiser l'adversaire et ses thèses. Il est inévitable donc pour argumenter il lui faut utiliser des connecteurs logiques pour relier les phrases afin que celles-ci soient logiques, claires et cohérentes.

En tenant compte de ces caractéristiques de l’argumentation, dans cette recherche, nous allons demander aux apprenants de faire une rédaction argumentative. Suivant ce type de rédaction, nous espérons que les apprenants pourront donner leurs commentaires sous forme d’idées que leurs opinions soient négatives ou soient positives et aussi leurs solutions si nécessaire sur un problème de la vie réelle. De la même manière, nous espérons trouver dans leurs rédactions, des connecteurs logiques en tant qu’outil important de l’argumentation.

Par ailleurs, une argumentation est une forme rhétorique qui essaie de modifier les attitudes ainsi que les points de vue des lecteurs pour qu’ils fassent ce que l’auteur pense. Autrement dit, à travers ce type de discours, il expose des faits factuels afin de montrer la réalité aux lecteurs et qu’il trouve ses effets au-dessus. L’objectif du discours argumentatif constitue, à un thème ou à un sujet, à étayer une thèse qui va répondre à une problématique. Pour cela, il


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faut convaincre un lecteur, soit pour modifier son opinion ou son jugement, soit pour l’inciter à agir. C’est ainsi qu’une rédaction argumentative prend attention sur les opinions comme la base des données ainsi que les faits qui vont sous tendre ces opinions. D’ailleurs, une chose importante dans la construction de ce genre de rédaction est faire une conclusion. Il se peut que nous la placions au début ou à la fin comme des éléments nécessaires.

En ce qui concerne ce type de rédaction, les connecteurs dont nous avons besoin pour construire des opinions ou des idées afin qu’ils soient plus logiques sont ceux qui se rapportent à l’argumentation. Dans ce cas-là, nous allons essayer de persuader ou de convaincre des lecteurs de manière aussi logique et réelle que possible. Pour cela, nous devons utiliser les connecteurs logiques pour plusieurs raisonnements qui permettront de faire beaucoup de choses, par exemple : d'ajouter un argument ou un nouvel exemple aux précédents, d'établir un rapprochement entre deux faits, de constater des faits ou des arguments opposés à la thèse tout en maintenant son opinion, d'opposer deux faits ou deux arguments souvent pour mettre en valeur l'un d'entre eux, d'exposer l'origine, la raison d'un fait, etc.

Université Pédagogique d’ Indonésie est une institution gouvernementale qui gère une section de langue française depuis long temps. Dans ses curriculums, nous trouvons depuis des années un cours qui essai de développer la compétence de faire une rédaction argumentative appelée un cours de « Production Ecrite », proposée 90 minutes une fois par semaine Ce type de cours est proposé dès le premier semestre et exige la pratique directe chez les étudiants pour transcrire leurs idées sous forme de rédaction. Selon des observations et à travers des entretiens menés sur place, beaucoup d’étudiants constatent qu’ils ont des difficultés à faire une rédaction : manque de vocabulaire et manque de connaissances grammaticales. Alors que du côte des enseignants du cours de production écrite, ils disent que sur les travail, les apprenants ont


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tendance à mettre un peu des connecteurs logiques. La réalité montre qu’ils ont du mal à développer leurs paragraphes. Ceci affecte évidemment le résultat final de leurs rédactions qui semblent sévère voire difficile à comprendre. D’ailleurs, dans sa recherche, Sulistyowati (2000:66) une étudiante de post-maîtrise de UPI trouve qu’il existe cinq éléments qui empêchent un auteur de transcrire ses expressions à l’écrit : idée principale, idée supplémentaire, unité, cohérence et organisation.

L’écrit dans une classe c’est d’abord un outil de communication comme dans la vie avant d’être un objet d’apprentissage. De ce fait, il va parfois être une porte ouverte sur l’intimité de chaque apprenant. Sous forme claire ou codée, par les dits et les non-dits, il acceptera ou refusera de livrer un peu de lui

.

En conséquence, suivant le rôle, les enseignants devraient être disponibles de bien gérer et bien entreprendre le cours de production écrite dans la classe. Il lui faut donc trouver non pas seulement de bonnes méthodes mais aussi de bonnes techniques pour faciliter leurs enseignements. Dans cette perspective, ces enseignants vont rédiger des fiches pédagogiques en fonction des allocations temporelles en créant des techniques qui pourraient stimuler une bonne ambiance sans négliger l’obtention des buts attendus. Il pourra évidemment mettre ses apprenants dans une situation de communication authentique déterminée à propos de laquelle ils devront approprier leurs discours, conformément aux contraintes linguistiques, discursives et socioculturelles si possible.

A l’heure actuelle, personne n’a fait de recherche sur l’influence de l’acquisition des connecteurs sur le résultat des rédactions mais avant, plusieurs didacticiens ont effectué des recherches qui parlent de la compétence de la production écrite. Mohan et Au-yeung Lo (in


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que l’organisation de rédaction peut naître par le traitement d’ exercices pertinents. L’année suivante, Sapani (in Buchori, 1995:78) a étudié les erreurs commises dans la rédaction chez les apprenants. Il a constaté que les erreurs à de nature linguistique dans les rédactions. Une recherche presque similaire à la nôtre, a été réalisée par Suriamiharja (in Buchori 1995:78). Il a effectué une recherche sur la corrélation entre la connaissance de la rédaction et la compétence de la production écrite. Dans le bilan, il a constaté qu’il n’ y avait pas de corrélation forte entre les deux sujets. Par contre, il a prévu qu’il fallait prendre des considérations sur le facteur psychologique qui pourrait stimuler positivement la compétence de la production écrite. En ce qui concerne la cohésion de rédaction, Widodo (in Buchori 1995:78), un étudiant de l’Université Pédagogique d’ Indonésie Bandung a fait une recherche sur l’application des outils de cohésion sur le développement des idées dans la rédaction scientifique. De cette étude résulte l’opinion que les outils de cohésion donne des contributions assez fortes dans la réalisation d’une rédaction. Ensuite, Sigalingging (in Buchori, 1995:78), a effectué son étude qui parlait de la compétence de lecture et celle de la rédaction « exposition » envers la disponibilité des références de livre, l’allocation temporelle de lecture et l’intensité d’écriture. De cette étude, il a tiré un bilan que la compétence de rédaction « exposition » a été affectée par les activités de lecture et de leur intensité. Nenden S. Lengkanawati (in Buchori, 1995:78), dans sa recherche a préconisé qu’une rédaction sera dite « bien » tant qu’elle a de bons aspects de la logique et de bons aspects de langue. En vue de soutenir cette opinion, elle a fait une étude sur les aspects de la logique et ceux de langue dans la compétence de production écrite. Enfin, Sutama (in Buchori, 1995:78), a réalisé une recherche qui étudiait l’influence de la connaissance de cohésion et son application dans la capacité de faire une rédaction plus cohérente. De cette recherche résulte une conclusion qui dit que ces deux variables « indépendants » contribuent à donner une nuance de


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cohérence dans une rédaction. Par contre, dans une autre perspective, il suppose que la capacité de faire une rédaction plus cohérente ne s’appuie pas forcément sur ces deux variables « indépendants ».

Pour distinguer notre recherche de ces recherches précédentes, nous but opérationnel est

savoir si des connecteurs logiques pourraient donner une contribution positive sur dans la réalisation de rédaction à nature argumentative chez les étudiants de 6e semestre l’année scolaire 2010 de l’Université Pédagogique d’ Indonésie en considérant que les étudiants de ce degré ont les bagages en grammaire qui parlent des connecteurs logiques.

La réalité du phénomène des caractéristiques des connecteurs en tant que moyen dont la fonction primordiale est de relier des phrases dans une rédaction et le phénomène de l’aquisition des connaissances dans ce domaine chez les étudiants de l’Université Pédagogique d’ Indonesie nous inspire pour faire une recherche. Nous cherchons savoir dans ce cas-là s’il existe une corrélation de l’acquisition ce type de connaissance envers son application dans leurs rédactions argumentatives. Dans ce cas-là, nous voudrions savoir si la connaissance des connecteurs logiques des étudiants se reflètera forcément dans leurs rédactions.

1.2 Problématique

A la suite de l’introduction, nous pouvons donc formuler les problématiques comme suivantes :

a. Quelle est l’acquisition des connecteurs logiques chez les étudiants de 6e semestre l’année scolaire 2010 de l’Université Pédagogique d’ Indonésie ?


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b. Dans quelle mesure est la compétence de faire une rédaction argumentative chez les étudiants de 6e semestre l’année scolaire 2010 de l’Université Pédagogique d’ Indonésie ?

c. Existe-t-il une corrélation entre l’acquisition des connecteurs logiques envers lacompétence de faire une rédaction argumentative chez les étudiants de 6e semestre l’année scolaire 2010 de l’Université Pédagogique d’Indonésie ?

1.3 Objectif

En s’appuyant d’abord sur l’arrière-plan ci-dessus, nous souhaitons que cette recherche atteigne quelques buts, comme suit:

a. Connaître l’acquisition des connecteurs logiques chez les étudiants de 6e semestre l’année scolaire 2010 de l’Université Pédagogique d’ Indonésie.

b. Mesurer la compétence de faire une rédaction argumentative chez les étudiants de 6e semestre l’année scolaire 2010 de l’Université Pédagogique d’Indonésie.

a. Vérifier s'il existe une relation entre la corrélation entre l’acquisition des connecteurs logiques envers compétence de production écrite chez les étudiants de 6e semestre l’année scolaire 2010 de l’Université Pédagogique d’Indonésie.

1.4 Point de départ

En reformulant les informations de l’introduction au dessus, nous faisons plusieurs hypothèses qui vont soutenir cette recherche :


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a. Les étudiants de 6e semestre l’année scolaire 2010 de l’Université Pédagogique d’ Indonésie ont déjà appris le cours de Grammaire dont le sujet sont les connecteurs logiques.

b. Les étudiants de 6e semestre l’année scolaire 2010 de l’Univesité Pédagogique d’Indonésie ont appris la construction de la rédaction argumentative. Dans ce type de rédaction, ils ont déjà appris à construire les opinions sous forme d’une thèses et d’une anti-thèse.

c. En vue d’exprimer des opinions, les étudiants ont besoins de connecteurs

logiques dont la fonction est d’ enchaîner les idées dans les phrases. En d’autres termes, tant qu’ils expriment leurs opinions, ils ont besoin de connecteurs logiques.

1.5. Hypothèse

Les connecteurs logiques sont des connecteurs dont la fonction est de relier les idées dans les phrases. Ils peuvent dans ce cas-là soutenir même nuancer les idées et les opinions d’un auteur. Alors, il nous est induit que plus qu’ un auteur a des idées ou des opinions, plus il a besoin de connaissances des connecteurs logiques. En tant qu’ étudiants de 6e semestre qui ayant du temps pour apprendre ce type de connecteur, nous avons une hypothèse qui dit que leurs connaissances des connecteurs logiques vont avoir une corrélation envers leurs compétences en rédaction argumentative.


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CHAPITRE III

METHODOLOGIE DE RECHERCHE

3.1 Méthode de recherche

La méthode que nous avons appliqué pour analyser, identifier ainsi caractériser toutes les données est la méthode descriptive. Selon Sudjana (1992:65-68), il est important de passer par cinq phases quand nous allons utiliser cette méthode : (1) formuler des problématiques, (2) déterminer des données prétendues, (3) déterminer la récupération des données, (4) déterminer des procédures de traitement des données et (5) formuler des conclusions.

En ce qui concerne sa fonction, Arikunto (1992:18) détaille la fonction de cette méthode : (1) récupérer les informations factuelles et détaillées qui vont décrire des phénomènes sur place, (2) identifier des problématiques actuelles, (3) faire des comparaisons et déterminer ce qu’on peut analyser ainsi que les implications des expériences pour établir une fondation et prendre une décision dans le futur. De ce fait, cette recherche essaie de formuler des problématiques actuelles, de récupérer des informations factuelles et des données détaillées à la suite desquelles les traiter en fonction des procédures convenables et qui nous permettra enfin de tirer une conclusion en exécutant une analyse des implications des expériences pour décider dans le futur.

L’approche que nous avons appliquée en vue de trouver la relation entre le variable indépendant et celui dépendant est l’approche corrélationelle. Irianto (2006 :133) affirme que la corrélation est une relation entre un variable à l’autre. La relation de ces deux variables peut être sous forme de la relation corrélationnelle ou causale. Dans le cas où le résultat montre une relation non caus-conséquence, nous déterminins que celle-ci a une nature corrélationnelle.


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D’ailleurs, la relation dite causale quand celle-ce montre une relation cause conséquence. Dans l’hypothèse telle que nous avons écrit dans le chapithe 1, notre recherche est une recherche à nature corrélationnelle.

En vue d’avoir un bilan, toutes les données récupérées ont été décrites et ont été analysées en fonction d’une formule de statistique convenable. C’est ainsi que cette recherche a pour but de décrire et d’analyser en appliquant des formules statistiques en se basant sur deux variables : connaissance des connecteurs logiques et la compétence de production écrite. Nous pouvons évidemment constater que cette recherche est une recherche de nature descriptive corrélationnelle. Ce type de recherche va décrire l’objet et le sujet de recherche d’une manière systématique, actuelle et précise. Alors que l’approche utilisée est celle quantitative du fait que les données récupérées ont été observées et calculées en appliquant la formule statistique.

3.2 Définition opérationnelle

Les théories grâce auxquels l’auteur va prendre des décisions pour réaliser cette recherche et qui vont inspirer la rédaction de cette recherche sont basés sur plusieurs connaissances, entre autres :

1. Rédaction argumentative

La rédaction argumentative est une rédaction qui se compose des opinions, des attitudes ou des appréciations sur une chose ou un phénomène qui s’appuient sur des raisonnements, des preuves, des faits réels ou des affirmations logiques (http://www.freecorp.org).

Ce type de rédaction expose, argumente et justifie sa thèse de façon brève et sommaire. Son but est d’essayer de convaincre le destinataire aux opinions de l’auteur ou à l’inverse, elle peut essayer d’opposer les opinions sur des opinions de quelqu’un.


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2. Connecteur

Léon et Roudier (1998:124) préconisent qu’une rédaction sera cohérente, quand la relation entre ses phrases est assurée par des signes, des conjonctions ou des locutions conjonctives des prépositions ou des locutions prépositionnelles et des adverbes et des locutions adverbiales Ceux-ci sont définis comme « connecteurs » qui se présentent sous forme de signe, de mot ou de groupe de mots dont la fonction dans le discours est d’établir des relations logiques, spatiales ou temporelles entre les phrases. Autrement dit, nous pouvons dire que ce sont les liens qu'entretiennent les idées entre elles, idées qui peuvent être explicites ou implicites.

3.3 Variable de recherche

Les variables sont les caractéristiques d’un groupe d’humain dont les caractères ou les environnements varient selon leurs personnalités (Djiwandono, 2006:103). Conformément à leur fonction, les variables de cette recherche sont classifiées en deux termes « dépendant » et « indépendant ». Dans cette recherche, la compétence de la production écrite a la nature de la variable « dépendant », tandis que les connecteurs logiques ont la nature de la variable « indépendant ». Nous essayons de savoir si la variable dite « indépendant » affecte la variable dite « dépendant ».

3.4 Technique de collecte des données

Nous comptons trios données dans cette recherche : données qui concernent la population, données qui concernent les connaissances des connecteurs logiques et données qui concernent l’application des connecteurs logiques dans la réalisation de rédaction argumentative. Afin d’obtenir ces trois types de données, nous avons effectué une recherche en trois catégories :


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a. documentation

Cette technique a pour but de lister les étudiants que nous avons traité comme des échantillons et que nous leur avons demandé de répondre à nos instruments de test : test des connaissances des connecteurs logiques et test de rédaction argumentative.

b. bibliographie

Ce type de donnée vise à récupérer des théories ou des théories concernant la matière de recherche : connecteurs logiques et rédaction argumentative, dans ce cas-là, ceci est important du fait qu’une recherche qui a une valeur « scientifique » doit se reposer sur des théories d’experts. Nous avons donc nous plongé dans les livres ou sur des sites internet pour détailler et approfondir ces théories.

c. test

C’est une façon pratique et pertinente pour savoir si la connaissance des connecteurs logiques contribue à la compétence de faire une rédaction argumentative chez les étudiants. Nous avons utilisé deux types de tests : le premier est celui à propos des connaissance des connecteurs logiques et le deuxième est le test rédaction.

Pour le test de rédaction, nous avons demandé aux échantillons de faire une rédaction de nature argumentative. De ce fait, nous avons pu connaître leurs capacités sur la pratique de ces connecteurs dans leurs rédactions. Ensuite, nous avons essayé de chercher la corrélation en calculant selon la formule statistique corrélationnelle.

3.5 Instrument de recherche

En vue de mesurer la connaissance des connecteurs logiques, nous avons effectué un test qui avait abordé les types de connecteurs logiques. Ensuite, nous avons demandé aux étudiants


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de rédiger une rédaction argumentative. De la réalisation de ces deux tests, nous avons eu des informations qui prouvaient si l’acquisition des connecteurs logiques allait apporter une corrélation sur la compétence de faire une rédaction argumentative.

3.5.1 Instrument pour mesurer l’acquisition des connecteurs logiques

En ce qui concerne ce sujet, nous avons fait un test qui pouvait mesurer les connaissances des connecteurs logiques chez les étudiants. Les sujets du test sont ceux ayant déjà abordés pendant leurs cours. Le test s’est présenté comme un test à trous ou un test lacunaire et un test à choix multiple pour avoir des sujets variés. Pour le premier type, il leur fallait compléter des phrases incomplètes tandis que pour le deuxième, ils devaient choisir la bonne réponse parmi quatre options de chaque élément de test. En tout, nous avons présenté 50 éléments de test qui se composaient de 25 éléments pour le choix multiple et de 25 éléments pour le test lacunaire dont chaque élément représente un point. Ceci veut dire que si un étudiant répond correctement à chaque élément, nous allons donner un point, vice versa, 0 point pour une réponse incorrecte.

3.5.1.1 Validité de test

Un test est dit « valide » lorsqu’il mesure ce qu’on va mesurer. Cette affirmation correspond à une opinion d’ Arikunto (1992 :136) qui dit qu’un instrument de test est valide s’il mesure ce qu’on veut. D’après cette affirmation, il importe que nous ayons un instrument qui peut décrire un résultat convenable aux buts prétendus. Pour savoir si le contenu de notre instrument est valide ou non valide, nous avons utilisé dans cette recherche, la validité « contenu ». La validité dit contenu réfère à une question “est-ce qu’ un instrument de test a une


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ressemblance par rapport aux buts et aux contenus transmis” (Nurgiyantoro, 2009:103). Parmi la variété de type de validité, celle-ci est une condition primordiale que doit avoir un instrument de test. Pour réaliser ce type de validité, nous allons demander aux experts de cette discipline de vérifier notre instrument.

Dans une autre perspective, pour avoir un instrument rationnel, nous avons effectué une méthode empirique en collectant des données et en les opérant statistiquement comme d’après la proposition de Djiwandono (2008:166). A propos de la passation empirique, nous les avons traités avec 2 méthodes : t-test et analyse des items.

3.5.1.1.1 Jugement

Le critère de la convenance d’un instrument de test vise à mettre le contenue soit valide. En cela, il faut mettre l’équilibre entre le but prétendu et le contenu du test. En ce qui concerne le jugement, nous avons d’abord demandé auprès de vérification des professeurs de grammaire 6 et ensuite avons demandé la vérification auprès des experts de ce domaine.

3.5.1.1.2 Empirique a. T-tes

C’est une technique de validité externe qui a pour but de chercher le chiffre t en classant des échantillons dit « vérificatifs » en deux. De ces deux classes nous avons eu des scores que nous avons comparés et que nous avons traités en opérant la formule de t-test. Enfin, nous avons consulté le chiffre obtenu avec le tableau dit « Critisse » de t à la suite duquel nous avons déterminé si l’instrument était valide ou invalide.


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b. Analyse des éléments

En vue d’effectuer cette méthode, il nous fallait penser aux éléments dans le test. Dans ce cas-là, nous devions éviter les éléments du test qui étaient trop faciles ou trop difficiles. Pour cette raison, il était inévitable que nous fassions une analyse qui pouvait les traiter selon les besoins. Dans le domaine de la méthodologie, cette analyse est dite « analyse des éléments de test ».

Analyse des éléments de test peut être une technique de validité “empirique” dont la fonction est de connaître le degré de difficulté, le degré de différence de chaque élément et l’efficacité des “éléments trompeurs” dans un instrument de test. Selon Tuckman dans Nurgiyantoro (2009:136), l’analyse des éléments de test est une analyse corrélationnelle entre les scores des éléments et les scores entier. C’est une analyse qui sert à distinguer les réponses d’un élément de test des apprenants envers toutes les réponses d’un instrument de test. Dans cette recherche, nous avons écrit uniquement de deux fonctions de cette analyse : le degré de difficulté de chaque élément de test et le degré de différence des éléments.

• Degré de difficulté des éléments de test

Oller (in Nurgiyantoro 2008:138) dit que degré de difficulté est une affirmation sur la facilité ou sur la difficulté de chaque élément ou d’item d’un instrument de test. Un bon élément de test est celui qui n’est ni trop facile ni trop difficile. Arikunto

(1992:221) affirme qu’ un bon élément de test est celui dont le degré de difficulté s’étend de 0,15 au 0,85 et dont le degré de différence s’étend de 0,40 au 0,70. Connaissant cette analyse, nous aimerions posséder alors des éléments ayant de bons degrés de difficultés et des éléments de


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bons degrés de différences Alors que pour de mauvais éléments qui n’ont pas de bons degrés de difficultés ou de bons degrés de différences, nous les avons améliorés voire les avons supprimés.

Le degré de difficulté des éléments de test se montre par l’index qui s’étend de 0,0 au 1,0. L’index 0,00 est l’index informant que l’élément de test est trop difficile. Par conséquent, personne ne peut répondre correctement. Au contraire, l’index 1,0 signifie que celui-ci est trop facile car tous les apprenants répondent tous correctement.

Dans une autre perspective, Djiwandono (2008:219) donne son opinion sur ce sujet. Il dit que malgré la variation de son application, en générale, le degré de difficulté se caractérise en trois niveaux différents : facile (0,90), moyen (0,50) et difficile (0,10). Hors de la chaîne de cette difficulté, notamment dans le degré d’extrême 0,00 ou 1,00, les éléments de test ne sont plus efficace et ceux-ci doivent être révisés. De ce fait, nous n’avons pas d’information sur la différence de leurs capacités, chez les apprenants, l’un à l’autre.

• Degré de différence des éléments de test

C’est un degré qui a pour but de mesurer la différence de compétence entre le groupe supérieur et le groupe inférieur. Un bon élément de test est celui qui peut différencier les deux groupes dans un chiffre convenable. Si non, cette affirmation se base sur la logique qui dit qu’en général le groupe supérieur va répondre correctement beaucoup plus que celui inférieur. Oller (in Nurgiyantoto, 2009:140) dit que la logique de la mesure du degré de différence est lors que les bonnes réponses du groupe supérieur sont plus nombreuses que celles du groupe inférieur.

Le chiffre de l’index de ce degré s’étend du -1,00 au 1,00. Un élément de test dont le chiffre est 1,00 signifie que celui-ci c’est de bonne qualité parce qu’il va écarter largement une


(22)

différence entre le groupe supérieur et celui inférieur. Un élément de test au chiffre de l’index -1,00 montre que celui-ci est de mauvaise qualité qui signifie que personne du groupe supérieur ne répond correctement alors que tous les membres du groupe inférieur répondent correctement. Oller (in Nurgiyantoro, 2009:138) constate qu’un élément de test sera dit « convenable » quand celui-ci a le chiffre de l’index qui s’étend du 0, 15 au 0,85. Par contre, pour un élément de test dont le chiffre de l’index est hors de ce chiffre, nous devons les réviser.

Dans l’objectif de déterminer le degré de la différence des éléments de test, Djiwandono (2008:224) fait une catégorisation sur ce domaine comme dans le tableau de la détermination du degré de différence des éléments de test ci-dessous :

Tableau 3.1 La détermination du degré de différence des éléments de test

Degré de différence Qualité des éléments

0,40 ou plus Très bien

0,30 – 0,39 Moyen mais nécessite une révision

0,20 – 0,29 Passable mais nécessite une révision

0,19 ou moins Mauvais, nécessite une révision voire la

suppression d’élément de test

3.5.1.2 Fidélité de test

La fidélité se réfère forcément à la constance de résultat d’un instrument de test (Setiyadi, 2006:17). L’aspect de la fidélité va ensuite soutenir l’aspect de la validité. Ceci veut dire qu’un instrument dit « valide » va automatiquement couvrir l’aspect de la fidélité. C’est ainsi qu’un instrument de test ayant une fidélité basse veut dire qu’il n’est pas valide.


(23)

La preuve empirique est la seule manière de prouver la fidélité ou fiabilité d’un instrument de test. Les experts du domaine de recherche disent qu’il existe plusieurs manières pour déterminer la fidélité, entre autre la technique test re-test, la technique test parallèle et la technique split half (Arikunto, 1992:87). Le choix des techniques dépend normalement de plusieurs facteurs : compétence prétendue, type de test, occasion de répétition d’un test, précis de calcul, calcul prétendu, etc. En considérant que le contenu et la forme de notre test ne sont pas aux mêmes modèles : genre, difficulté et type, nous avons utilisé la technique test re-test pour l’instrument de test des connecteurs logiques.

Test re-test est une technique de prédiction du degré de la fiabilité d’un instrument de test en examinant deux fois les mêmes personnages avec le même test

(Nurgiyantoro, 2009:119). Le chiffre de l’index de la fidélité a été calculé en faisant une corrélation de résultat du premier test et du deuxième test.

Des experts de ce domaine se sont mis d’accord pour dire que le test sera « fidèle » ou « fiable » quand les résultats du premier et du deuxième test sont stables ou voire connaissent un progrès continu. Une opinion d’Arikunto (1992 :142) renforce cette idée, elle préconise qu’un test sera dit « fidèle » s’ il est testé plusieurs fois à des heures différentes pour un individu qui reste au même rang de son groupe. Même si le résultat du deuxième test est meilleur que le premier, ce test sera dit un test à une fidélité importante. En vue de déterminer la fidélité d’un instrument de test, ci-dessous est le tableau de l’interprétation du chiffre de l’index du degré de la fidélité. Cet index est normalement dit « chiffre r » qui s’étend entre + 1,00 et – 1,00.


(24)

Tableau 3.2 L’interprétation du chiffre de l’index du degré de la fidélité

Chiffre “r” Interprétation

De 0,000 à 0,200 Très faible

De 0,200 à 0,400 Faible

De 0,400 à 0, 600 Moyenne

De 0,600 à 0,800 Élevée

De 0,800 à 1,000 Très élevée

(Djiwandono, 2006:167)

3.5.2 Instrument pour mesurer la compétence de faire une rédaction argumentative

Nous avons utilisé un instrument sous forme d’une rédaction dont la fonction

est de mesurer la compétence de faire une rédaction. C’est une rédaction de nature argumentative, de 200 mots environ. Comme c’est une rédaction, nous avons décidé de ne pas faire le test pour mesurer la validité ainsi que la fiabilité.

3.6 Grille et barème

3.6.1 Test des connecteurs logiques

Nous avons à cette occasion proposée un test de 50 éléments qui englobe 25 éléments du test à choix multiples et 25 éléments du test lacunaire. Ces 50 éléments de test se composent de huit types de connecteurs logiques qui sont reconnus et déjà familiers chez les étudiants. D’ailleurs, parmi ces huit, certains types sont plus nombreux par rapport aux autres et ceux-ci


(25)

sont plus fréquemment utilisés dans la rédaction : causalité, but, condition, opposition / concession, illustration, addition/gradation, référence, conclusion. Alors, au niveau de leur application, nous les avons mis plus fréquemment que les autres types de connecteur.

Pour le système de score, chaque élément de test a un point que nous avons multiplié par deux pour avoir la note finale. Nous pouvons dire qu’un échantillon va avoir la note finale 100 quand nous allons multiplier par deux de toutes leurs réponses correctes. Nous allons montrer dans le tableau ci-dessous, la répartition des sujets sous forme de barèmes et de grilles :

Tableau 3.3 La répartition des types de connecteurs logique pour le test à choix multiple

Sujet abordé Nombre d’item point

Addition / Gradation 2 4

Concession / Opposition 5 10

Cause 4 8

Conséquence 3 6

Conclusion 2 4

Référence 2 4

Condition

4 8

But / Intention 3 6

Total 25 50

Dans ce tableau ci-dessus, pour le test à choix multiple, nous avons mis le connecteur de concession ou opposition plus nombreux que d’autres en considérant que celui-ci est plus


(26)

fréquemment utilisé. Vice versa pour les connecteurs qui sont moins fréquemment utilisés et que nous avons mis moins.

Tableau 3.4 La répartition des types de connecteurs logiques dans le test lacunaire

Sujet abordé Nombre d’item point

Addition / Gradation 2 4

Concession / Opposition 5 10

Cause 4 8

Conséquence 4 8

Conclusion 2 4

Référence 2 4

Condition 3 6

But / Intention 3 6

Total 25 50

Pour le test lacunaire, nous avons mis le même connecteur que dans le test à choix multiple qui est plus nombreux que d’autres pour la même raison.

Tableau 3.5 La récapitulation de la répartition de types des connecteurs logiques dans le test des connecteurs logiques


(27)

Sujet abordé Nombre d’item point

Addition / Gradation 4 8

Concession / Opposition 10 20

Cause 8 16

Conséquence 7 14

Conclusion 4 8

Référence 4 8

Condition

7 14

But / Intention 6 12

Total 50 100

Au total, nous avons mis le connecteur à nature d’opposition ou de concession comme le connecteur le plus nombreux. Il a été dix fois de présence suivi huit fois de cause, sept fois de conséquence, sept fois de condition, six fois de but, quatre fois d’addition ou gradation, quatre fois de conclusion et quatre fois de référence.

3.6.2 Test de rédaction argumentative

Nous avons consulté la notation finale du test de la rédaction à un critère d’évaluation standardisé. Pour cela, nous nous sommes appuyés sur le critère de la notation selon le CECRL niveau A2 comme montré dans le tableau ci-dessous :

Tableau 3.6 Tableau de notation de la production écrite de DELF A2


(28)

Performance globale 0 0,5 1 1,5 2

Pertinence des informations données 0 0,5 1 1,5 2

Structures simples correctes, présence des temps du passé

0 0,5 1 1,5 2 2,5 3

Lexiques appropriés 0 0,5 1 1,5 2 2,5 3 3,5 4

Présence d’articulateurs 0 0,5 1 1,5 2

(Tagliante, 2005:70)

Le score total pour ce type de test est de 15 points. Ensuite, nous l’avons mis dans une formule pour obtenir la notation finale :

Le score obtenu

_____________ X 100 = Note finale 15

Enfin, nous avons consulter la note moyenne dans le tableau ci-dessous pour interpréter la capacité des échantillons en moyenne.

Tableau 3.7 L’interprétation de note finale du test de rédaction


(29)

85 – 100 % Très Bien

75 – 84 % Bien

60 – 74 % Moyenne

0 – 59 % Basse

( Arikunto, 1997:245 )

3.7 Technique d’analyse de données

3.7.1 Analyse de donnée de test des connaissances des connecteurs logiques

Toutes les données des connaissances logiques ont été décrites en plusieurs étapes : a. Décrire la réponse

C’est une action qui a pour but de savoir si la réponse est correcte ou incorrecte. De ce traitement a ensuite résulté le score final en appliquant cette formule :

Les réponses correctes x 2 = le score final des connaissances des connecteurs Logiques

Ensuite, le résultat final du test a été consulté d’après la notation de ce tableau ci-dessous, qui nous montre la capacité de l’application des connaissances des connecteurs logiques en théorie.

Tableau 3.8 La note finale du test de connecteurs logiques

Note finale Interprétation


(30)

75 – 84 % Bien

60 – 74 % Moyenne

0 – 59 % Basse

(Arikunto, 1997:245 )

b. Décrire de bonnes ou de mauvaises réponses et leurs pourcentages

C’est un traitement qui vise à classer de bonnes réponses ou de mauvaises réponses à la suite duquel nous en avons fait un pourcentage. De ce processus, nous avons eu des informations sur la capacité des échantillons de chaque item.

Pour cela, nous avons utilisé cette formule :

P = ______f______ X 100%

N

Note :

P = chiffre de pourcentage f = fréquence recherchée

N = nombre de fréquence ou nombre d’échantillon (Sudijono, 1987: 40 - 41)

3.7.2 Analyse des données du test de rédaction argumentative

Pour ce type de test, nous avons fait des analyses dont chacune a pour résultat des descriptions sur la compétence de la production écrite selon plusieurs points de vue comme suit :


(31)

Ce type d’analyse a pour but de déterminer si la rédaction se qualifie dans une catégorie à la fréquence mauvaise, basse, moyenne, élevée et excellente en tenant compte de la fréquence d’utilisation de ces connecteurs logiques, comme le montre par le tableau ci-dessous :

Tableau 3.9 La catégorisation de présence des connecteurs logiques dans le test de rédaction

Présence des connecteurs logiques Catégorie

0-4 Mauvaise

5-9 Basse

10-14 Moyenne

15-19 Elevée

20-24 Excellente

Les catégories d’appréciation de la présence des connecteurs logiques sont déterminées par la fréquence des connecteurs logiques dans la rédaction en tenant compte sur le Scala ratio cinq points d’intervalle. De manière à obtenir la catégorie la plus appréciée (excellente), nous assumons que les étudiants seront capables de produire plus de 20 phrases pour la fourchette de 200 mots soit sous forme des phrases simple soit des phrases complexes qui seront reliées par plus de 20 connecteurs logiques.


(32)

C’est une technique qui nous permet de savoir la tendance de la plus dominante dans les choix des types des connecteurs logiques dans la rédaction des étudiants. Pour cela, nous avons opéré ce type de formule comme suit :

Nombre de tel type des connecteurs logiques

________________________________________________ X 100 % Total des fréquences de la présence des connecteurs logiques

c. Décrire l’organisation d’argument

C‘est une analyse qui a pour but de connaître la stratégie d’argumentation à savoir les types et l’organisation d’argument, qui fondent la réalisation de la rédaction chez les étudiants. Le but de ce processus est de connaître, parmi les types d’argument et les types de plan de raisonnement, leurs tendances les plus dominantes.

d. Décrire le type d’argument

Ce type d’analyse vise à connaître plus profondément les types d’argument qui composent les rédactions des échantillons. Nous voulons connaître dans ce cas-là, la reformulation de montrer le cheminement des idées ou des pensées qui servent à envisager un phénomène ou un problème.

e. Déterminer le score de rédaction argumentative

Nous avons enfin fait une notation de la rédaction en considérant plusieurs critères déterminés par le CECRL de niveau A2 comme montrés dans le tableau


(33)

deux fois de notation à la suite desquelles nous avons pris le score moyen comme le score final.

3.7.3 Analyse de la contribution de l’acquisition des connecteurs logiques envers la

compétence de faire rédaction argumentative

Dès que nous avons eu les données des compétences des connecteurs logiques et celles de la rédaction argumentatie, nous les avons calculées dans l’objectif de trouver le chiffre de l’index pour plusiers raisons :

a. Vérifier l’hypothèse

En ce qui concerne cette vérification, nous avons prévu l’influence les connecteurs logiques envers la compétence de la rédaction arumentative. Pour cette raison, nous avions utilisé le calcul de ”régression linéaire” par le système SPSS.

Ensuite, en vue de connaître si le variable “attaché” et le variable “libre” a une relation linéaire, nous avons appliqué la formule de “F” de degré de signification de 5 % (

α

=5%) en appliquant le même calcul de SPSS.

b. Obtenir le chiffre de l’index corrélationnel

Pour avoir ce chiffre, nous avons cherché le chiffre de l’index corrélationnel. Ensuit, nous l’ avons mis dans le calcul de SPSS en les concultant dans le tableau de l’interprétation de lindex corrélationnel comme montré dans le tableau suivant :


(34)

Chiffre r Interprétation

De 0,000 à 0,200 Très faible

De 0,200 à 0,400 Faible

De 0,400 à 0,600 Moyenne

De 0,600 à 0,800 Elevée

De 0,800 à 1,000 Très Elevée

(Djiwandono, B., 2006 : 167)

3.8 Population et échantillon de recherche

La population est tous les aspects qui sont l’objet d’une recherche. Selon Soeharto (in Yunita, 2009:32) la population est composée de tous les membres d’une unité soit un individu soit un événement ou même une chose que l’on utilise sans un but général de recherche.

L’échantillon représente la population testée comme dans le postulat d’Arikunto

(in Yunita, 2009:32) qui dit qu’un échantillon est la partie de la population considérée en tant que la source des données. La population et l’échantillon de cette recherche sont les étudiants du Département du Français de l’Université Pédagogique d’Indonésie Bandung (UPI), de 6e semestre, de 8e semestre et de 10e semestre qui suivent le cours de grammaire 6. Le nombre total de ces étudiants est de 47. Parmi eux, 18 étudiants ont été traités pour la vérification de la fidélité et la validité et les 25 étudiants ont été traités pour notre échantillon de notre recherche.

Chaque étudiant a une même occasion en tant qu’un échantillon. Nous avons décidé de traiter toute la population de ces étudiants. Nous avons pris donc une moitié de la classe A et une moitié de l’autre clase en utilisant la technique « random sampling ». Selon Surakhmad


(35)

(1982:72), la procédure du choix des échantillons en « random » est : (1) tous les membres de la population seront « codés » (2) le code est écrit dans une feuille tirée au sort (3) Tirer au sort 50% du nombre total de la population. Hadi (984:75) dit que la technique de « random » n’est pas une technique hasardeuse parce que celle-ci démarre de principes mathématiques admis pour leurs validités. D’ailleurs, les experts du domaine de recherche supposent que ce type de technique est actuellement la meilleure technique pour déterminer des échantillons.

C’est ainsi que le nombre total de l’échantillon est de 18 étudiants. La détermination d’échantillon de 50% est basée sur l’opinion de Surahkmad (1982:100) qui dit que si la population est à la nature homogène est qui est moins de 100, il est possible de traiter 50 % de la population totale. Dans une autre perspective, Ary et ses collaborateurs (in Surakhmad, 1982:430) affirme que l’étude corrélationnelle n’a pas besoin d’un grand échantillon. Une opinion identique mais exprimée d’une façon différente lancée par Surakhmad préconise qu’un grand échantillon ne garantie pas le résultat plus subtil qu’un petit échantillon (1982:159). Nous pouvons dire également que nous allons commettre une prise d’échantillon en fonction de la procédure proportionnelle.


(36)

CHAPITRE 5

CONCLUSION ET SUGESSTIONS

5.1 Conclusion

Rédaction est une activité inévitable du processus d’enseignement de langue étrangère en vue d’atteindre le but prétendu : la compétence de langue à l’écrit. D’une part, celle-ci permettra aux apprenants de décrire leurs opinions ou leurs idées librement, d’autre part, c’est une activité qui entraîne plusieurs connaissance linguistiques : vocabulaire, syntaxe et cohérence. Le vocabulaire sert à enrichir le contenu de la rédaction, le syntaxe importe articuler la phrase de manière pertinente et la cohérence sert à placer les phrases soient plus alaises ainsi facile à comprendre.

L’absence d’un connecteur dans le passation d’une rédaction est très importante. C’est une partie de la cohérence dont le but est de relier les propositions, les phrases ou les paragraphes d'une rédaction. Les connecteurs sont des mots de liaison. Ils sont aussi appelés mots charnières ou bien encore mots outils. De la même manière, ils servent à situer les événements, les personnages et les objets dans le temps et dans l'espace et jouent un rôle clé dans la logique et la progression. Par ailleurs, ils mettent l'accent sur le raisonnement qui sous-tend un paragraphe ou un texte. Ils sont indispensables dans un texte argumentatif, explicatif ou démonstratif. Ils structurent aussi les raisonnements pour construire des argumentations.

Argumenter, ou convaincre, c'est utiliser des moyens rationnels et logiques pour démontrer la vérité ou de la fausseté d'un fait, pour convaincre l'interlocuteur de la nécessité d'agir ou de ne pas agir. Quand nous voulons convaincre, nous allons argumenter en s'adressant à la raison de l'interlocuteur. De ce fait, il importe que nous présentions des faits, des exemples


(37)

même que nous faisions appel à l'expérience. Alors, nous allons apprendre un registre didactique pour donner une argumentation.

L'argumentation soutient une thèse, opinion ou position que nous avons par rapport à un thème donné. Au contraire, nous pouvons utiliser aussi l’argumentation pour critiquer la thèse adverse, appelée l'antithèse du fait celle-ci reste générale et abstraite. En vue d’atteindre à son objectif, un auteur va illustrer ses idées par l’utilisation des exemples, tirés de cas concrets ou de faits réels qui permettront de rendre plus accessibles ou plus compréhensibles des idées difficiles et de jouer le rôle de preuves, venant renforcer les idées énoncées. Dans un autre perspectif, nous pouvons également dire que l’argumentation est la notion que développe et que défend une rédaction.

Université Pédagogique d’ Indonésie Bandung est une institution de la pédagogie dans la quelle il existe une section française. Dans cette section, les apprenants sont exigés avoir des compétences linguistiques et celles communicatives. En vue d’arriver à ces compétences, la mis en oeuvre du cours de la production écrite devient une activité importante pour que les apprenants aient une bonne performance de langue écrite. C’est évident que ce type de performance a besoin plusieurs conditions dont la possession des connaissances des connecteurs logiques.

De ce fait, nous avons fait une recherche qui vise à savoir la capacité de l’acquisition des connaissances des connecteurs logiques envers la compétence de faire une rédaction argumentative. Cette recherche résulte plusieurs informations qui aboutissent à une conclusion que :

• L’acquisition de connaissance des connecteurs logiques chez les étudiants de semestre 6 de l’Université Pédagogique d’Indonésie l’année scolaire 2010 se met dans la


(38)

catégorisation Basse. Cette décision se base sur l’obtention d’une accumulation de 2 scores du test de choix multiple et du test lacunaire.

• La compétence de la production écrite, dans ce cas-là production de rédaction argumentative, se met dans la classification Moyenne. Leur note moyenne est de 63,33. Ce type de notation est basée sur les critère de la notation de CECRL de DELF A2 qui englobe le respect de la consigne, la performance globale, la pertinence des informations, la structure simple et correcte, présence des temps du passés, lexique approprié et présence des articulateurs. Ce qui veut dire que la compétence de faire une rédaction argumentative des étudiants de semestre 6 de l’Université Pédagogique d’Indonésie l’année scolaire 2010 est au-dessus de la note moyenne du DELF A2.

• Il y a une corrélation entre l’acquisition des connaissances des connecteurs logiques envers la compétence de faire une rédaction à nature argumentative. La degré de cette corrélation est montré par l’index corrélationnel de chiffre r de Spearman qui atteint 503 avec le standard de déviation 13,495 qui veut dire que l’acquisition des connaissances des connecteurs logiques chez les étudiants de 6e semestre de l’Université Pédagogique d’Indonésie contribue « moyenne » sur leur compétence de faire une rédaction argumentative. L’autre preuve est que le trait montré par la courbe a tendance de monter.

5.2 Suggestions

Pendant la passation de la prise des données, nous avons rencontré sur place, des étudiants qui nous avons posé des questions. Tous les questions se sont référées au sujet abordé dans l’instrument testé : connecteur logique. La plupart, ils ne sont pas informé sur le sens et la


(39)

nature de plusieurs types de connecteurs notamment ceux qui sont suivis du mode subjonctif par exemple : en admettant que, en supposant, de même, suivant, pourvu que, pourtant, même si, quoique. Ils ne sont pas au courant appliquer leurs fonctions l’un à l’autre.

Dans le test à choix multiple, nous avons une information qui dit que les échantillons avaient du mal à analyser une phrase complexe reliée d’un connecteur logique du type référence « suivant » (élément de test numéro 20). De même, ils n’ont pas non plus bien compris l’utilisation du connecteur logique de cause « malgré » comme montré l’élément de test numéro 23.

Par ailleurs, dans le test lacunaire, nous avons une réalité qui nous donne une information sur les éléments du test que la plupart des échantillons avait mal répondu. Ce sont des éléments du test qui abordaient le type de connecteurs de nature de condition qui est souvent suivi du mode subjonctif comme montré dans l’élément de test numéro 10. Du même cas, il y aussi des échantillons qui ont mal placé le connecteur qui est suivi d’un group nominal comme montré l’élément de test numéro 17.

Suivant les cas au-dessus, nous aimerions proposer des suggestions au point de vue aux quatre éléments ciblés : étudiants, enseignants, institution et lecteur.

a. aux étudiants

• Il serait mieux que les étudiants varient leurs connaissances des connecteurs logiques malgré leurs présences non fréquenté. Cette suggestions visent à enrichir leurs connaissances des connecteurs logiques hors des connecteurs logiques disent « illustres ».


(40)

En conséquence, ils seront capables de construire des phrases étant riches en connecteurs qui vont aboutir à une bonne rédaction facile à comprendre.

• Il serait mieux que les étudiants fassent des exercices sur l’utilisation des connecteurs suivis du group nominal. A part les conjonction ou les coordonnants, il existe des connecteurs qui sont suivis par le group nominal dont la fonction prend la même place de ces deux formes au-dessus mais il a un caractéristique particulière, entre autres : grâce à, à cause de, malgré, en raison de, faute de, etc. Ils leur faut dans ce cas-là faire des exercices de nominalisation des phrases.

• Il serait mieux que les étudiants mettent attention sur les caractéristiques des connecteurs logiques qui sont suivis du mode subjonctif. Nous proposons aux étudiants en ce cas là, de distinguer les caractéristiques de chaque connecteur ainsi leur emploi. Il leur nécessite également de s’habituer à appliquer le mode subjonctif du fait que ce sujet prend la place importante de l’utilisation des connecteurs logiques du degré de difficulté élevée.

a. aux enseignants

• Il serait mieux de faire connaître d’autres connecteurs logiques malgré leurs présences non fréquenté.

• Il serait mieux de proposer aux apprenants, autant d’exercices des connecteurs logiques suivis de group nominal ainsi leurs caractéristiques : malgré., grâce


(41)

à, etc.

• Il serait mieux de proposer aux apprenants, autant d’exercice des connecteurs logiques notamment ceux qui sont suivi du mode subjonctif.

• Valoriser des une ambiance d’enseignement – apprentissage plus agréable en fournissant des facilités, en particulier celles qui supporteront l’enseignement du sujet des connecteurs logiques. Ces facilités pourront sous forme de livre, de CD, etc ou les facilités qui pourront rendre l’enseignement afin qu’il soit plus

agréable.

c. aux lecteurs

Nous espérons que les lecteurs s’engageront de donner des suggestions ainsi des critiques dans l’objectif d’améliorer cette recherche. Nous serions leur reconnaissants de réaliser nos demandes.


(42)

1

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(45)

4

SINOPSIS

Penelitian ini merupakan sebuah realitas yang menggambarkan kemampuan teoritis pengaplikasikan kata hubung logika mahasiswa semester 6 Universitas Pendidikan Indonesia Bandung jurusan bahasa Perancis tahun 2010 terhadap kemampuan mereka dalam menulis sebuah karangan argumentasi. Adapun alasan penulis melakukan penelitian ini adalah untuk mengetahui apakah kata hubung logika berpengaruh terhadap kemampuan menulis karangan argumentasi. Jika pun ada, penulis juga ingin mengetahui sejauh mana kata hubung tersebut berpengaruh terhadap variabel yang dipengaruhinya. Berikut ini akan kami jelaskan pengertian dari masing-masing variabel, kemudian akan kami jelaskan pula teknik pengolahan data berikut hasil penelitian.

Menulis merupakan salah satu kemampuan terpenting dalam sebuah pembelajaran bahasa asing disamping kemampuan-kemampuan yang lainnya, seperti membaca, menyimak dan berbicara. Secara keseluruhan, dalam kegiatan menulis, seorang penulis akan melibatkan beberapa kemampuan linguistik yang dimilikinya, seperti sintaksis, kosa kata dan organisasi kontekstual. Selanjutnya, sintaksis akan berperan dalam pembentukan tata letak kalimat yang benar sehingga akan mempermudah pemahaman konteks karangan secara keseluruhan, kosa kata akan menentukan kekayaan dan variasi ide seorang pengarang dan organisasi tekstual akan menentukan kerapian penyusunan


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5 kalimat dan paragraf melalui penanda atau kata hubung yang akan berpengaruh terhadap makna dari setiap ide yang diutarakan oleh penulis.

Dari sekian banyak jenis karangan, penulis akan berkonsentrasi terhadap proses penyusunan karangan argumentasi karena jenis karangan ini merupakan sebuah seni untuk mengutarakan ide yang membutuhkan beberapa ketrampilan dan teknik agar saran atau idenya dapat diterima oleh pembaca. Ketrampilan tersebut meliputi salah satunya penggunaan kata hubung yang secara logika dapat diterima kebenarannya. Logika ini berperan penting dalam pembuatan opini baik opini yang dilontarkan oleh seorang penulis berdasarkan pengalaman atau hasil analisis dan akumulasi dari pengetahuannya, atau opini yang memang sudah menjadi sebuah fenomena yang terjadi dalam kehidupan bermasyarakat.

Kata hubung ini yang dalam bahasa Perancis biasa disebut dengan istilah “connecteur logique” dilihat dari proses pembentukannya dibedakan atas tiga yakni kata hubung yang menghubungkan dua proposisi setara yang biasa disebut sebagai Conjonction , kata hubung yang menghubungkan dua proposisi yang tidak setara yang biasa disebut sebagai kata hubung subordinasi. Ketidaksetaraan dalam hal ini karena kedua kalimat tersebut tersusun atas kalimat induk dan anak kalimat. Sedangkan kata hubung yang ketiga adalah kata hubung yang berbentuk gabungan kata depan yang disebut kata hubung preposisi.

Kata hubung logika memiliki berbagai macam fungsi sesuai dengan peruntukannya, diantaranya :

1. Kata hubung yang berfungsi untuk menambahkan atau menempatkan gradasi ide, dalam bahasa Perancis kata hubung ini disebut sebagai kata hubung logika


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6 “Addition / Gradation”.

2. Kata hubung yang berfungsi untuk menyimpulkan apa yang sudah diutarakan oleh penulis. Kata hubung logika ini dalam bahasa Perancis disebut sebagai kata hubung logika “Conclusion”.

3. Kata hubung yang berfungsi untuk menggambarkan ide melalui contoh atau perumpamaan. Kata hubung ini dalam bahasa Perancis disebut dengan kata hubung logika “Illustration”.

4. Kata hubung yang berfungsi untuk memunculkan sebab dari suatu permasalahan atau dari sebuah kejadian atau fenomena. Kata hubung ini dalam bahasa Perancis disebut dengan kata hubung logika “Cause”.

5. Kata hubung yang berfungsi untuk memunculkan akibat dari sebuah tindakan atau dari sebuah permasalahan atau fenomena. Kata hubung jenis ini dalam bahasa Perancis disebut sebagai kata hubung logika “Conséquence”.

6. Kata hubung yang berfungsi untuk menyangkal sebuah pernyataan, tanggapan atau sebuah realita. Kata hubung ini dalam bahasa Perancis disebut dengan kata hubung logika “Opposition / Concession”.

7. Kata hubung yang berfungsi untuk mengutarakan sebuah maksud atau tujuan. Kata hubung ini dalam bahasa Perancis biasa disebut dengan kata hubung logika “But”.

Kemampuan mahasiswa untuk menggunakan kata hubung-kata hubung inilah yang selanjutnya menjadi pusat penelitian kami yang selanjutnya akan kami hubungkan


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7 dengan kemampuan menulis karangan argumentasi. Guna merealisasikan tujuan tersebut, kamis sengaja menyusun instrumen test yang terdiri dari test tentang pengetahuan kata hubung logika dan test kemampuan mengarang argumentasi. Test kata hubung logika terdiri dari 25 butir test pilihan ganda 4 pilihan dan 25 butir test isian. Sedangkan test kemampuan mengarang merupakan test menyusun karangan argumentasi dengan kisaran 200 jumlah kata.

Selayaknya instrumen test yang akan digunakan memenuhi unsur reliabilitas dan validitas yang baik, oleh karena itu kami telah mengujicobakan instrument test pengetahuan kata hubung logika kepada 18 mahasiswa semester 6. Sedangkan untuk instrumen test mengarang tidak perlu dilakukan karena bentuk test mengarang tidak dapat diukur aspek validitas dan reliabilitasnya. Uji reliabilitas kami lakukan dengan teknik Test-Retest yakni teknik pengujian ulang sebanyak dua kali pada peserta uji test yang sama dalam waktu yang berbeda. Hasil dari pengujian ini menunjukkan bahwa instrumen test pengetahuan kata hubung logika telah memenuhi unsur reliabilitas yang tinggi. Sedangkan untuk melakukan uji validitas, kami melakukan dua cara yakni dengan expert judgment yakni meminta dua pakar yang ahli dalam bidangnya untuk melakukan pemeriksaan materi yang akan diteskan serta melakukan uji kualitas butir soal melalui pengujian daya pembeda dan daya kesukaran test. Selain itu kami juga melakukan uji validitas dengan menggunakan perhitungan statistik yakni dengan menggunakan uji validitas dengan menggunakan rumus t. Hasil dari semua pengujian validitas tersebut menunjukkan bahwa validitas instrumen test pengetahuan kata hubung logika telah memenuhi standar validitas yang dibutuhkan oleh sebuah instrumen test yang akan dijadikan alat untuk mendapatkan data dalam sebuah penelitian.


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8 Dari hasil penelitian di lapangan terhadap 25 populasi, didapatkan realita bahwa kemampuan mahasiswa dalam menggunakan kata hubung tergolong masih rendah yangi dibuktikan dengan pemerolehan hasil akhir sebesar 35,68. Sedangkan hasil akhir test menyusun karangan argumentasi tergolong dalam kategori sedang dengan pemerolehan hasil akhir sebesar 64,93. Selanjutnya kedua angka ini kami tempatkan dalam sebuah perhitungan kalkulasi statistik dengan menggunakan sistem SPSS untuk mencari indeks angka korelasi r Spearmean. Hasil yang kami dapatkan adalah ada korelasi antara pengetahuan kata hubung logika terhadap kemampuan menulis karangan argumentasi. Dengan indeks korelasi sebesar 0,503 maka artinya pengetahuan kata hubung logika yang dimiliki mahasiswa semester 6 jurusan Pendidikan Bahasa Perancis Universitas Pendidikan Indonesia Bandung tahun 2010 berpengaruh cukup kuat terhadap kemampuan menulis karangan argumentasi mereka.

Selanjutnya, guna mengetahui apakah hasil ini dapat diprediksikan untuk populasi lain yang artinya apakah kata hubung logika berpengaruh cukup kuat terhadap kemampuan menyusun karangan argumentasi secara umum, maka kami melakukan 2 macam penghitungan. Penghitungan pertama adalah penghitungan yang akan kami gunakan sebagai prasyarat dilakukannya penghitungan untuk mengetahui prediksi hasil penghitungan ke depan. Sedangkan penghitungan kedua merupakan penghitungan prediksi itu sendiri. Pengitungan ini akan menentukan sejauh mana atau sebesar apa variabel bebas bisa memberikan pengaruh variabel terikat.

Penghitungan pertama berfungsi untuk mengetahui ada tidaknya kenormalan distribusi data yang artinya apakah populasi yang kita gunakan merupakan populasi yang memiliki kemampuan hampir sama. Apabila populasi memiliki kemampuan yang


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rata-9 rata sama maka data yang kita dapatkan melalui penghitungan ini memiliki distribusi normal dan layak digunakan sebagai data untuk melakukan prediksi. Pengitungan kami lakukukan dengan menggunakan penghitungan statistik SPSS Kolmogorov Smirnov masing-masing untuk test pilihan ganda 4 opsi dan test isian. Hasil yang kami dapatkan menunjukkan bahwa test untuk pilihan ganda 4 opsi memiliki data distribusi yang sangat normal yakni dengan pemerolehan indeks sebesar 0,918, sedangkan test isian memiliki data distribusi yang normal dengan pemerolehan indeks sebesar 0,633.

Karena data sudah teruji distribusi kenormalannya, maka selanjutnya dilakukan penghitungan kedua. Penghitungan ini dimaksudkan untuk mengetahui apakah hasil dari penelitian ini dapat diterapkan pada populasi yang lain di luar populasi yang kami gunakan atau dengan kata lain apakah hasil penelitian ini dapat digeneralisasikan untuk populasi yang lain maka kami lakukan penghitungan melalui sistem SPSS. Penghitungan ini juga disebut sebagai penghitungan regresi linier sederhana penguji hipotesis. Adapun hipotesis yang kami gunakan adalah hipotesis nol (Ho) dan hipotesis kerja (Ha). Hipotesis nol ditetapkan sebagai acuan yang digunakan untuk menetapkan bahwa tidak adanya korelasi antara pengetahuan kata hubung terhadap kemampuan menulis karangan argumentasi jika index nilai F hitung lebih kecil dari pada nilai F tabel. Dengan kata lain Ho diterima jika nilai F hitung < dari F tabel. Sedangkan hipotesis kerja digunakan sebagai acuan untuk menetapkan bahwa ada korelasi antara pengetahuan kata hubung terhadap kemampuan menulis karangan argumentasi jika nilai F hitung lebih besar dari pada nilai F tabel.

Penghitungan ini dikatakan linier sederhana karena hanya melibatkan 1 variabel bebas terhadap 1 variabel terikat. Setelah melakukan penghitungan, kami dapatkan


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10 informasi yang menyebutkan bahwa dengan alpha sebesar 5 % yang artinya bahwa diantara 100 peserta terdapat 5 orang peserta yang melakukan kesalahan, diperoleh nilai F hitung sebesar 6,943 yang lebih besar dari F tabel 4,24. Hasil ini menunjukkan sebuah fakta bahwa terdapat korelasi antara pengetahuan kata hubung terhadap kemampuan menyusun karangan argumentasi.

Disamping menghasilkan penghitungan-penghitungan di atas yang mengacu pada korelasi antara kata hubung logika terhadap kemampuan menyusun karangan argumentasi, kami juga memperoleh beberapa data tentang kata hubung logika itu sendiri.

a. Test pengetahuan kata hubung logika

• Dari semua butir soal yang kami sajikan, terdata 8 butir soal dimana lebih dari 50 % responden menjawab dengan benar dan 17 butir soal sisanya dijawab benar oleh kurang dari 50 % responden.

• Dalam hal tingkat kesukaran butir soal, butir soal yang membahas kata hubung logika “Prasyarat” atau “Condition” berbentuk subordinasi yang diikuti modus subjonctif merupakan butir soal yang sedikit dijawab benar. Butir soal tersebut hanya dijawab benar oleh dua responden. Butir soal yang dimaksud adalah butir soal nomor 24.

Sebaliknya, butir soal yang membahas tentang kata hubung logika jenis “sebab” atau “cause” berbentuk “locution prépositionnelle” yang diikuti kata benda banyak dijawab benar oleh 16 responden. Butir soal tersebut adalah adalah butir soal nomor 25.


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invitiez.

a. pour qu’ b. en supposant qu’ c. bien qu’ d. dans l’objectif que 25. Les paysans récoltent 3 fois par an le riz ………..… la fertilité de la terre.

a. malgré b. en vue de c. grâce à d. mais

Test Lacunaire

Durée 60 minutes

Nom

Niveau de classe

II. Remplissez les pointillés en choisissant un des connecteurs logiques qui convient ci-dessous !

à cause de de peur que pour que

à condition que de plus pourvu que

afin que donc puisque

en admettant que enfin quoique

alors que grâce à selon

au contraire mais si

c’est pourquoi or si bien que

d’abord par conséquent


(2)

1. Le dinosaure ne mange pas de légume, ……….……. il mange de la viande. 2. Louise n’a jamais trouvé son époux ………..….. elle est parfaite ; elle

est belle et a une bonne carrière.

3. Je voyagerais à île Maurice ………..….. je gagnais au loto

4. ………. la crise économique, notre famille ne part pas en vacances cette année. 5. L’Indonésie est un beau pays, ……….… les habitants y sont très accueillants. 6. Nous n’avons pas beaucoup de temps, ……….…….. nous nous

dépêchons pour aller au bureau.

7. Vous serez admis pour continuer vos études à l‘université ……… vous réussissiez passer cet examen.

8. A cause du terrorisme, nous n’avons pas eu l’occasion de regarder le match de football entre MU et notre équipe nationale ……….. nous avions eu le ticket. Tant pis ! 9. Ils ont entouré leur maison d’une barrière ……….….. les animaux ne puissent pas

pénétrer leur jardin.

10. Je vous prêterai de l’argent de nouveau, ……….… vous me remboursiez votre dette précédente.


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12. Les jeunes aiment les films aventure, ……… les personnes âgés préfèrent les anciens films d’amour de Jean Paul Belmondo et de Brigitte Bardot. C’est bien normal, non ?

13. ……… le niveau de vie de la population soit mieux. L’Etat va réaliser les programmes pour surmonter les problèmes de la pauvreté.

14. Hugo ment beaucoup ……….…. personne ne croit ce qu’il dit. 15. Regarde le ciel ! ………. il fait beau, déjeunons sur la terrasse maintenant ! 16. Le degré de satisfaction dépend de notre appréciation sur un sujet. ………...

nous, c’est une bonne affirmation.

17. Notre pays a réussi à contrôler la croissance de la natalité ………...l’existence du programme familial.

18. Mon père s’est opposé au chef de la société ………. il ne veut plus y travailler. 19. Cette année nous avons passé un hiver rude en Europe …….. nous avons décidé de nous

déplacer en Asie.

20. ……….…. il ne soit plus jeune, mon grand père pratique encore du sport assez extrême

21. Depuis hier, mon bébé crie beaucoup …………..……… il n’a plus de voix maintenant. 22. …….……….… les écoliers soient en retard, ils sont partis à l’école de bonne

heure ce matin.

23. ………….………… les rumeurs, la fin du monde aura lieu en 2012. Vous y croyez ? 24. Que vas-tu faire pour réaliser tes rêves idylliques ? ………..…. Je vais travailler à


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25. Marianne est d’accord pour vivre ensemble avec Luc ……….. il ait une maison privée dans la ville.

Test de Rédaction (200 mots de fourchette)

Faites une rédaction argumentative en utilisant des connecteurs logiques convenables ci-dessous

et, en outre, aussi, surtout, d'abord, ensuite, enfin, également, voire selon, d’après

donc, ainsi, finalement, mais, or, sauf

car, parce que, comme pour

donc, alors

par exemple, notamment, c’est-à-dire, comme, plutôt, évidemment

en particulier, en effet, ce qui revient à dire que, en d’autres termes, soit, autrement dit, ou plus exactement, autant dire que

en résumé, en bref, en définitive, pour conclure, en conclusion, en somme


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suivant, ainsi que, conformément à, à propos de, à l’égard de, à ce sujet, à ce propos, sur ce problème, de cette manière, quant à, dans ce cas, en ce qui concerne

en effet, étant donné que, puisque, en raison de, dans la mesure où, vue que, du fait que, c’est que, c’est parce que, à cause de, par suite de, grâce à, faute de, à la faveur de, eu égard à, à force de, ce qui cause… c’est, une des causes de… c’est, le motif essentiel de… c’est, ayant vu / su /

appris que, d'autant plus/moins, que, attendu que, d’autant que, du moment que, pour cause de toute façon, quoiqu’il en soit

c'est pourquoi, par suite, de là, d'où, dès lors, de sorte que, si bien que, par conséquent, de ce fait, pour toutes ces raisons, en conséquence, pour conséquence

au contraire, cependant, pourtant, en revanche, tandis que, alors que, néanmoins, toutefois, malgré, même si, alors que, contrairement à, excepté, mis à part, hormis, ne ... que

en vue de, dans l’objectif de, dans le but de, afin de, Si, sauf si, faute de quoi

dans l’hypothèse où

si .. que… , tellement … que

malgré que, quoique, bien que, certes … mais

sous prétexte que, pour la simple raison que, ce n'est pas que, non pas que, c'est que, sous prétexte de, sous prétexte à

pour que + subj., afin que, de façon à ce que de peur que, de peur de, de crainte que, afin que, de façon à ce que

à condition que, à moins que, en admettant que, pour peu que, pourvu que, à supposer que, en supposant que, soit que … soit que, au cas où, dans le cas où, de sorte que, de sorte que


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