xiii troubles profonds d’une nature sanguine au contact d’une nature nerveuse. Qu’on lit
le roman Thérèse Raquin avec soin, révèle que chaque chapitre est l’étude d’un cas curieux de psychologie d’humaine : les caractères humains. Dans ce cas là, j’ai
choisi la méthode de la psychologie de la littérature pour mon mémoire. J’ai aussi utilisé la méthodologie descriptive-qualitative dans ce mémoire, parce que mon but
est de décrire l’agressivité des personnages dans le roman Thérèse Raquin d’Emile Zola.
Les corpus utilisés dans ce mémoire sont les textes du roman Thérèse Raquin d’Emile Zola. Les donnés sont notées sur des cartes de données, alors elles sont
analysées en utilisant la technique Pilah Unsur Penentu Triage de Constituant Déterminant Sudaryanto 1993 :21.
D. L’Analyse
Avant d’aborder de l’analyser de l’agressivité des personnages dans le roman Thérèse Raquin, nous parlons premièrement de :
1. Les caractères des personnages dans le roman Thérèse Raquin
Dans ce cas-là, on parle de caractères des personnages afin de comprendre la situation de ces personnages eux-mêmes.
Exemple : paresseux. ‘Il venait, en quelques mots, de conter une histoire caractéristique qui le
peignait en entier. Au fond, c’était un paresseux, ayant des appétits sanguins, des désirs très arrêtés de jouissances faciles et durables. Ce grand corps
puissant ne demandait qu’à ne rien faire, qu’à se vautrer dans une oisiveté et un assouvissement de toutes les heures. Il aurait voulu bien manger, bien
dormir, contenter largement ses passions, sans remuer de place, sans courir la mouvaise chance d’une fatigue quelconque.’ TRV60
xiv L’analyse ; Emile Zola décrit le caractère de Laurent, un homme paresseux
qui a des appetits sanguins et qui n’aime pas travailler.
2. L’agressivité des personnages dans le roman Thérèse Raquin
Dans cette partie, on parle des types, des facteurs de la responsabilité, des conséquences et des formes d’agressivités des personnages dans ce roman.
a. Les types d’agression
Exemple : l’agression instrumentale L’agression instrumentale est celle qui est faite par une personne dont le but
est de se servir de quelqu’un pour parvenir à ses projets finaux. Laurent a fait subir une agression instrumentale à Camille, en le tenant en l’air pour ensuite le
lancer dans la rivière. ‘Laurent secouait toujours Camille, en le serrant d’une main à la gorge. Il
fini par l’arracher de la barque à l’aide de son autre main. Il le tenait en l’air, ainsi qu’un enfant, au bout de ses bras vigoureux. Comme il penchait la
tête découvrant le cou, sa victime, folle de rage et d’épouvante, se tordit, avança les dents et les enfonça dans ce cou. Et lorsque le meurtrier, retenant
un cri de souffrance, lança brusquement le commis à la rivière, les dents de celui-ci emportèrent un morceau de chair.’ TRXI112
Laurent avait dans l’esprit l’idée de tuer Camille parce qu’il voulait être le mari de Thérèse et voulait hériter les biens de Madame Raquin.
‘Au contraire, Camille mort, il épousait Thérèse, il héritait de Mme Raquin, il donnait sa démission et flânait au soleil. Alors, il se plut à rêver cette vie de
paresseux.’ TRIX93
b. Les facteurs de la responsabilité de l’agressivité :
xv Laurent était l’amant de Thérèse. Ils s’aimaient. Laurent rêvait de devenir son
mari. Mais c’était un chose impossible du fait que Thérèse était la femme de Camille. Laurent, qui était frustré de ne pas pouvoir réaliser son rêve a tué le mari
de Thérèse : Camille, les instincts prudents du jeune homme se sont réveillés. ‘- Tu as raison, dit-il, il ne faut pas agir comme des enfants. Ah Si ton mari
mourait… - Si mon mari mourait…, répéta lentement Thérèse.
- Nous nous marierons ensemble, nous ne craindrions plus rien, nous jouirions largement de nos amours… Quelle bonne et douce vie ’ TRIX91
c. Les conséquences de l’agressivité
Dès le commencement, Laurent et Thérèse se trouvaient leur liaison nécessaire, fatale, et toute naturelle. Ils avaient en projet de se marier après la
mort de Camille. Laurent avait noyé Camille à la rivière, ce qui a entraîné sa mort. Son cadavre a été ensuite retrouvé à la Morgue.
‘Laurent regardait Camille. Il n’avait pas encore vu un noyé si épouvantable. Le cadavre avait, en outre, un air étriqué, une allure maigre et pauvre.’
TRXII129-130
d. Les formes de l’agressivité.
Les amours de Thérèse et Laurent sont le contentement d’un besoin ; le meurtre qu’ils ont commis est une conséquence de leur adultère. Laurent avait en
tête de tuer Camille afin qu’il ait pu épouser Thérèse. Laurent murmurait : ‘En s’endormant, Laurent décida qu’il attendrait une occasion favorable, et
sa pensée, de plus en plus fuyante, le berçait en murmurant : » Je le tuerai, je le tuerai. ». cinq minutes plus tard, il reposait, respirant avec une régularité
sereine.’
xvi
E. La Conclusion