Les buts de la recherche Les bénéfices de la recherche Conclusion

10 1. Quelles sont les stratégies cognitives utilisées par les étudiants dans l’apprentissage du français? 2. Quelles sont les stratégies métacognitives utilisées par les étudiants dans l’apprentissage du français? 3. Quelles sont les stratégies socio-affectives utilisées par les étudiants dans l’apprentissage du français? 4. Quelles sont les stratégies exercées par de bons apprenants par rapport aux quatre compétences langagières?

C. Les buts de la recherche

Selon les problématiques, cette recherche a pour objectif d’identifier et de décrire 1. les stratégies cognitives d’apprentissage de langue utilisées par les étudiants 2. les stratégies métacognitives d’apprentissage de langue utilisées par les étudiants 3. les stratégies socio-affectives d’apprentissage de langue utilisées par les étudiants 4. les stratégies exercées par de bons apprenants et les faibles apprenants par rapport aux quatre compétences langagières? 11

D. Les bénéfices de la recherche

Cette recherche donne des effets bénéfiques dans le domaine de la didactique du français langue étrangère: 1. Pour les apprenants du français, les résultats de cette recherche qui décrit les strategies utilisées par les bons apprenants peuvent être des références pour améliorer leur motivation, leur approche et leur stratégie dans le cadre d’apprentissage de français. 2. Pour les enseignants et les établissements où le français est enseigné, cette recherche fournit les données qui peuvent être les références dans la rise des mesures pour améliorer le processus d’enseignement apprentissage du français langue étrangère en Indonésie. 3. Pour les chercheurs qui s’intéressent aux stratégies et à l’autonomie d’apprentissage, cette recherche peut être une recherche préliminaire pour d’autres recherches sur la corrélation entre les stratégies d’apprentissage utilisées par les apprenants, l’autonomie d’apprenants et d’autres facteurs socio-affectifs et les compétences langagières acquises. 121 CHAPITRE V CONCLUSION ET IMPLICATION

A. Conclusion

Cette recherche concerne lidentification et la description des stratégies dapprentissage utilisées par les apprenants de langue des trois universités majeurs enseignant le Français Langue Etrangère FLE. Compte-tenu que la plupart de stratégies dapprentissage sont non observables, la seule façon de savoir si les étudiants utilisent telles ou telles stratégies dapprentissage est par leur questionner par l’interview et par le sondage, même si certains stratégies peuvent être associés à un comportement observable. Le résultat de la recherche montre que les étudiants choisissent et utilisent les stratégies d’apprentissage selon les situations et les contextes que l’on peut décrire comme suivant: 1. Stratégies métacognitives exercées par des apprenants Selon les données de l’enquête, moins d’une moitié des répondants exercent occasionnellement les activités de planification. Nous pouvons constater que certains apprenants pensent à l’importance du but, de la planification, du progrès, ou de la fin de ce processus d’apprentissage alors que d’autres n’y pensent pas. Les activités et le comportement planifié se réalisent éventuellement avec des intensités et des modifications différentes. certains croient qu’il vaux mieux de confier la planification et l’organisation de leur apprentissage à l’enseignant ou à l’établissement qui leur offrent un programme bien planifié depuis le début jusqu’à la fin du processus d’apprentissage. 122 Les données montrent également que certains répondants ne se comportent pas d’une façon autonome. Plusieurs indicateurs prouvent ce phénomène. 46 de répondants prêtent attention à l’organisation d’apprentissage. 55 de répondants font l’autoévaluation. Il s’explique par l’intensité des exercices donnés et les examens qui poussent les étudiants à se préparer et à faire une auto-évaluation pour ne pas avoir de mauvais résultats. 2. Stratégies cognitives exercée par des étudiants Plus d’une moitié de répondants 65 préfèrent utiliser ou appliquer de divers technique de mémorisation mnémonique. C’est un comportement auquel plusieurs autres stratégies contribuent et correspondent telle que la répétition, la révision, la consultation d’un dictionnaire, la prise des notes, conceptualiser les idées etc. A cet égard, les étudiants appliquent plusieurs stratégies afin de mémoriser les matières ou les leçons au cours d’apprentissage du français. Selon certains bons apprenants, plusieurs activités peuvent prendre effet telles que la révision, la prise des notes pour mémoriser de nouvelles leçons. Donc, plusieurs stratégies comme le groupement, la répétition et la révision sont l’ensemble de stratégie préférée par les étudiants pour retenir de nouveaux mots et de nouvelles leçons. Nous pouvons relier ce phénomène à la situation ou à la condition d’apprentissage. Les étudiants sont plutôt restés attendre la suite d’une instruction et les explications d’enseignant que de se préoccuper de matières d’auto- apprentissage, en regardant et en écoutant ce que dit l’enseignant en prenant des 123 notes. En revanche, il est toujours possible de discuter ou de travailler de façon plus active. Il est alors admissible que la passivité d’apprenants implique la stratégie sociale pour comprendre ou pour connaitre une nouvelle chose. Cette caractéristique d’apprenant est confirmée également par de bons apprenants interviewés. D’autres techniques considérées comme stratégie cognitives sont l’action de traduire et la périphrase. Ces stratégies sont confirmées successivement par un faible nombre 27 et 55 de répondants qui ont toujours exercées les deux actions. C’est probablement que l’action de traduire permet aux étudiants d’employer la première langue ou la langue seconde pour faire des comparaisons interlinguales significatives. Ils utilisent un mot ou un élément de la langue qu’ils connaissent pour produire un énoncé. Ils suppléent au manque de vocabulaire par la circonlocution de la part de l’interlocuteur, ils choisissent d’autres mots ou d’autres phrases de la langue cible pour réaliser l’acte de communication. Il arrive toute fois que ces liens sont considérés comme une stratégie compensatoire parce que les apprenants ont peu d’expérience en français et en effet ils ne cherchent que pour une signification d’un énoncé. 3. Stratégies socio-affectives exercées par des étudiants Il s’agit de l’intensité qu’occupent les apprenants en ce qui concerne l’opportunité d’interagir entre eux, avec l’apprenant, et avec le locuteur natif en français. On trouve que les étudiants ne font ni clarification ni vérification directe à leur interlocuteur sur les leçons qu’ils apprennent sous beaucoup de prétextes, 124 notamment il s’explique par la difficulté de la langue cible et par la simplicité de consulter la référence telle que le dictionnaire, l’encyclopédie, la grammaire, par rapport à se renseigner d’une façon directe. L’occasion de pratiquer la langue cible dans un contexte d’apprentissage pour les apprenants est, en général, considérée comme une tâche difficile à accomplir plutôt que la stratégie ou le moyen de s’exercer la langue cible. Alors que pour certains bons apprenants c’est justement une des stratégies d’apprentissage. Ce n’est qu’un petit nombre de répondant 15 qui cherchent à utiliser cette occasion pour faire des contacts à la fois pour se renseigner. Le problème du control d’émotion reste toujours un problème significatif chez beaucoup d’apprenant. on trouve seulement 38 de répondants qui ont arrivent à faire le control d’émotion au cours de la prise de parole devant le public ou avec des inconnus. Nous pouvons constater que les apprenants sont entravés par un problème d’émotion dans l’exécution de la prise de parole. L’anxiété, la peur, et les attitudes sont trouvés dans beaucoup de recherches comme des facteurs qui contraignent l’atteinte du but dans l’apprentissage de langue. Le control d’émotion fait partie de la stratégie socio-affective qui s’attache d’abord à sa relation avec quelqu’un d’autres et ensuite à sa propre prédisposition psychologique telle que les attitudes, les motivations, la confiance en soi. C’est une stratégie normalement utilisée par de bons apprenants pour éliminer son angoisse lors de l’exécution d’une prise de parole. La coopération avec les autres reste toujours une question à poursuivre. Ce n’est que 23 de répondants qui coopèrent toujours avec les autres. C’est une 125 stratégie socio-affective qui correspond aux activités communicatives dans lesquelles les étudiants sont engagés et doivent être coopérés dans la pratique de langue dans le cadre de résoudre son propre problème ou le problème de quelqu’un d’autre. Ce petit nombre s’explique par le principe de coopération qui est lié étroitement à l’anxiété de prise de parole. L’auto-renforcement est une stratégie socio-affective dont l’accent est mis à l’utilisation des connaissances et des savoirs faire linguistique pour renforcer l’acquisition de langue cible, tel que la prise de parole, faire du contact avec des gens, écrire dans le lieu public comme sur le réseau social, écrire une carte de vœux, voire regarder un film et faire des amis avec des étrangers. 52 d’étudiants affirment avoir un fort désir de se faire ami avec le locuteur natif du français. L’extroverti est un autre aspect observable 50 de répondant affirment qu’ils partagent leur anxiété, et leur problème de l’apprentissage avec leur copain. Par contre il y a seulement 10 de répondant qui écrit un statut ou un message ouvert, sur le réseau de Facebook ou tweeter. 4. Les stratégies exercées pour acquérir les quatre compétences langagières chez de bons apprenants a. Production orale et prononciation Les bons apprenants en langues savent ce quils visent. En termes de pronon- ciation, léventail des cibles peut être expliqué par lintelligibilité mutuelle qui est le critère principal stratégie affective: diminuer son anxiété. Les bons apprenants en langues ne négligent donc pas la prononciation. Ils 126 apprennent à prononcer en prenant conscient que cette activité physique n’implique pas seulement des exercices des parties du corps langue, lèvres, les cordes vocales, poumons, etc. mais aussi la stratégie d’apprendre une langue d’une façon communicative. C’est vraie que certains bons apprenants mettent au point limage dun bon locuteur de la langue française comme le but d’apprentissage en prononçant parfaitement et presque sans accent comme le locuteur natif du français, alors que d’autres voient du perspectif différent qui pensent que la communication est primordiale. Ce type d’apprenant utilise plutôt une stratégie compensatoire dans la communication qui préconise le sens et met à côté la forme. Le mimétisme reste toujours une stratégie cognitive exercée dans la production orale autre que pour la prononciation. Le mimétisme ou l’imitation est une stratégie cognitive pour acquérir le savoir faire linguistique. Il est également utilisé comme une stratégie compensatoire lors d’une prise de parole en faisant des gestes et du langage du corps. Dans le cadre d’apprentissage de prononciation les bons apprenants mettent plutôt l’accent sur ce qu’ils captivent avec leur ouï que ce que dit la théorie phonétique articulatoire. Cette stratégie cognitive donne l’occasion aux bons apprenants de faire une liaison entre la parole et sa signification à la fois dans la vie réelle. Et cela leur permet d’acquérir le savoir parler plus vite que leur camarade en général. Un autre facteur important qui correspond à ce type d’exercice est le temps consacré pour vivre dans un milieu francophone ou avec un locuteur natif. Les bons apprenants tirent le maximum de 127 possibilités dimmersion, en interagissant plus avec la culture et la langue cible, en faisant des amis avec des locuteurs natifs, en chantant une chanson française, en regardant la télévision ou un film français et en faisant la lecture des journaux, revues ou des bandes dessinées français. Cette stratégie socio-affective leur permet d’exercer la fluidité de leur français sans être entravé par des problèmes affectifs. Loccasion angl. affordance devient donc un avantage pour de bons apprenants. Ils utilisent la stratégie métacognitive et stratégie social pour réaliser l’interrelation de compétence langagière: lécoute, lorthographe et les caractéristiques non verbales. b. La compréhension orale lécoute et la compréhension écrite lecture La compréhension orale dun texte parlé est considérée par les bons apprenants comme une partie de l’activité communicationnelle. Ils ne se soucient pas véritablement des erreurs ou des sons qu’ils ne peuvent pas comprendre. Ils s’engagent à une activité qui est extralinguistique. Ils utilisent une stratégie compensatoire en percevant des indices non linguistiques tels que l’environnement et le contexte social ou les indices culturelles. En même temps, ils se réfèrent à des informations contextuelles afin de construire des hypothèses sur le sens du document auditif ou écrit. Les apprenants utilisent également des connaissances schématiques pour saisir le sens, et cela comprend la connaissance sur la règle ou l’ordre linguistique dont le discours est organisé, ainsi que la façon dont la langue 128 est utilisée dans une société donnée, et la connaissance factuelle du sujet communiqué. Les bons apprenants utilisent une stratégie métacognitive planifier l’exécution d’une tâche langagière plutôt que la stratégie socio-affective parce qu’ils pensent souvent que toutes leurs difficultés en CO sont à cause de leur faible connaissance de la langue cible. Les bons apprenants en langues prennent en compte de limportance des possibilités offertes par l’activité orale lors de lacquisition de la langue. Dès lors, ils utilisent des occasions pour regarder la télévision et des films, pour écouter des locuteurs natifs et pour s’exprimer dans lenvironnement, ou pour s’exercer la compréhension de la langue cible. Les bons apprenants sont conscients de faire des efforts pour réorienter lattention quand ils se concentrent vers lintonation et vers les pauses. Ils peuvent écouter les plus grands morceaux de la langue tels que des phrases et des discours. Ils ont également été en mesure demployer une variété de stratégies pour résoudre des problèmes de décodage et en utilisant des connaissances contextuelles et schématique ainsi que les connaissances linguistiques pour interpréter le sens. c. La production écrite et la grammaire Exprimer les idées d’une façon écrite dans une langue cible semble donc trop difficile pour ceux dont leur langue maternelle n’a rien à voir avec la langue cible. Pour la plupart d’apprenants la stratégie convenable pour 129 acquérir le savoir écrire est de travailler sur la grammaire. C’est pour cette raison que beaucoup d’apprenants emploient une stratégie métacognitive en préparant leur écriture d’une telle manière et une stratégie cognitive en retenant les formes des phrases plutôt que la stratégie socio-affective qui met l’accent sur le contenue de la communication. Lors qu’ils essaient de mettre en place leur connaissance sur le lieu public comme Facebook, ils pensent tout de suite à des fautes qu’ils pourront commettre. Dans ce cas-là, le but communicatif de la production écrite est troublé par une incertitude grammaticale. L’anxiété reste toujours un problème dans l’acquisition du savoir- écrire, même chez les bons apprenants. Cette anxiété est au fait situationnelle lors que l’exécution se récompense de façon potentielle à un jugement masqué sous forme de correction de la part de leur enseignant. Cependant, pour la nécessité de la communication, les bons apprenants ignorent les fautes ou les erreurs commises. Cette stratégie est utilisée par une nécessité de faire une communication avec quelqu’un qui ne jugera pas leur niveau du français. Dans ce cas-là, les bons apprenants exercent une stratégie socio-affective dont le but primordial est la suppression de l’angoisse dans la communication. C’est vrai que planifier un dialogue ou une histoire donnera aux apprenants le temps de réfléchir et donc daméliorer la confiance et la fluidité. Néanmoins, les apprenants se servent normalement de leurs connaissances pour accomplir simplement la tâche d’apprentissage sans 130 besoin communicatif. Quant à la tchatche sur internet avec des inconnues, cela leur permettra de s’exprimer plus librement et plus couramment. Cette stratégie, développée intentionnellement par les bons apprenants, poussée par l’enthousiasme d’apprendre plus loin ce qui leur semble évidente. Il y a des moments où les bons apprenants dont le niveau du français ne supporte pas la compréhension, ignorent ce défaut et finit par le malentendu. Cependant, ce contrecoup leur semble plus acceptable qu’un jugement moral. À une extrémité du continuum théorique, lécriture est considérée comme une extension de la grammaire et se concentre donc sur la précision. À lautre extrémité, la communication du sens est primordiale, la précision dun problème est secondaire. Les apprenants prennent tout à fait en compte que la lecture les facilite à écrire plus efficacement. Chaque fois quils sont demandés d’accomplir une tâche décrire le premier pas serait mis à la bibliothèque ou sur l’internet pour la préparation. Pour lune des répondants, se référer à linternet était indispensable car elle possede certains sites Web et publications à consulter, et ce serait le cas où sa préparation à écrire commence. Tandis que ceux qui aime lire, la lecture ne sert pas seulement à les aider à produire des idées avant de commencer à écrire, mais aussi lors qu’ils se trouvaient embrouillant à mi-tâche, ils reviennent encore à la lecture, pas seulement une fois, mais autant de fois que nécessaire. Un nombre de vocabulaire approprié est un outil essentiel pour ceux qui veulent sexprimer dans une langue nouvelle, et lune des 131 répondants est particulièrement consciente de la façon dont la lecture la aidée à construire les bases nécessaires pour exprimer ses idées par écrit. Elle se sert d’un outil pour retenir des mots et la façon elle peut s’en servir. C’est parce quelle ne voulait pas laisser au hasard. Lors de la lecture, elle prend des notes de nouveaux mots dans un cahier ou une carte. Ensuite, elle fait une définition ou une signification et des exemples d’usage de ces mots qui seront approprié à ses besoins. C’est ainsi qu’elle retient comment un mot est utilisé. Lors de lécriture elle expérimente lutilisation du vocabulaire nouveau, en utilisant le contexte dans lequel elle avait vu comment elle s’en sert comme un guide. En plus, en utilisant le vocabulaire quelle a trouvé lors de la lecture, elle peut éviter la répétition du même mot courant sans qu’elle le consulte dans le thésaurus, même si elle nétait pas sûre si l’usage est correct ou incorrect. Cette mélange-stratégie entre cognitive et métacognitive est utilisée pour combler la lacune entre le manque de vocabulaire et le besoin communicatif. Les bons apprenants sont prêts à négocier les difficultés inhérentes à lutilisation de zone dincertitude. Au fait, ces apprenants vont détourner celle-ci vers leur avantage, par exemple en l’utilisant dans le cadre du sujet donné sans qu’ils sachent si c’est correct ou incorrect. Grâce à leur lecture, ils peuvent enfin identifier l’usage de ce vocabulaire indispensable pour exprimer efficacement les idées. Cette apprentissage basé sur les essaies et les erreurs sont normalement trouvé chez les apprenants de langue 132 étrangère. Une telle méthode d’essaie diminue graduellement lincertitude chez les apprenants, cette stratégie peut être développé en même temps que l’on donne l’occasion pour compenser une tâche lors que l’apprenant nest pas prêt à faire face au sujet donné. Avant de commencer à écrire, les bons apprenants planifient, en préparant certains mots, des phrases qu’ils vont utiliser dans le contexte donnés. Une fois, ils rédigent leurs idées, ils révisent leur écriture, en vérifiant que les idées sont pertinentes pour soutenir les idées principales, et que le sens est clair. Une fois qu’ils vérifient la forme, on peut les faire consulter le vocabulaire dans un dictionnaire monolingue illustré comme le petit Larousse. Ainsi, la stratégie cognitive et compensatoire est servie d’une façon délicate. Attention à la forme est identifiée par Rubin 1975 et par Griffiths 2003a, 2003b comme typiques des bons apprenants. L’une des répondants, affirme quelle ne laisse pas interférer avec sa forme tentative de rédiger, une fois quelle finit son écriture elle vérifie la grammaire. Ainsi, les bons apprenants prêtent attention à la grammaire bien quils ne permettent pas à celle-ci entraver leur circulation de la pensée et d’exprimer. C’est le bon apprenant qui utilise le langage réfléchie en dehors de la classe qui est le plus susceptible den bénéficier. Par exemple, en lisant un journal ou en écrivant des lettres, il ya la possibilité dacquérir une nouvelle perspective sur ce qui est appris et obtenu dans la pratique utile et de 133 renforcement. Ainsi, tout comme Rubin 1975 dit, cest le bon apprenant qui crée des occasions dapprendre et de développer des compétences plutôt que dattendre passivement les possibilité darriver.

B. Implication dans la classe du français langue étrangère FLE