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C. L’ANALYSE SYNTAGMATIQUE
Barthes dit qu’une séquence de récit est réglée d’une façon linéaire, si bien qu’elle forme une relation horizontale.
Les autres théories des séquences sont également soulevées par Schmitt et A. Viala dans Handayani 1994: 35. D’après eux :
a. la séquence doit être centrée sur un point, par exemple, le même
événement, le même chiffre, la même idée, ou la même pensée. b.
la séquence doit confiner une période de temps et despace cohérente. Cela veut dire que quelque chose est arrivé en même lieu ou en même
temps. c.
en outre, les séquences qui ont une restriction comme mentionné ci- dessus, peuvent être des éléments dune plus grande séquence.
D. L’ANALYSE PARADIGMATIQUE
L’analyse paradigmatique étudie les éléments qui se relient à la signification de lhistoire. Nurgiyantoro 2005: 47 a affirmé que létude de
lanalyse paradigmatique dans les œuvres littéraires est d’étudier les personnages, les caractères des personnages, et la relation entre l’histoire du conte et le fond.
E. MÉTHODOLOGIE DE LA RECHERCHE
La méthodologie de la recherche se divise en trois étapes. Ce sont la méthode et la technique de collecter des données, d’analyser des données, et de
présenter le résultat de l’analyse. La méthode de collecter des données est «
simak » ou «
lire attentivement ». La technique utilisée est « catat » ou « noter » des données
trouvées directement dans le conte de « Le Petit Poucet » de Charles Perrault. La méthode d’analyser est « padan » ou « faire correspondre ». La
technique de la base est PUP « Triage de Constituant Déterminant ». La méthode de présenter le résultat de cette recherche est la méthode informelle.
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F. L’ANALYSE
Dans lanalyse syntagmatique, j’ai fait les séquences pour chercher et trouver l’intrigue de ce conte, et les fonctions principales pour chercher et trouver
une relation de cause et de conséquence dans ce conte. Il y a 76 séquences et 23
fonctions principales dans ce conte.
Les séquencés sont : 1.
la description de la famille de « Le Petit Poucet » qui était fort pauvre p.191.
2. la description de la condition sociale et la condition économique qui étaient
fâcheuses p.191. 3.
l’incompétence du bûcheron de nourrir ses enfants et de laisser leurs enfants dans le bois p.191.
4. la tristesse de la bûcheronne qui ne pouvait rien faire sauf obéir son mari
p.192. 5.
la conversation du bûcheron et sa femme qui a été entendu par le petit Poucet p.192.
Les séquences au-dessus sont basées de leurs ordres dans le texte du conte. Voici sera présenté les fonctions principales des séquences pour déterminer un
lien de causalité et de conséquence du conte. Ce sont : 1.
la condition économique de la famille du petit Poucet qui était mauvaise p.191.
2. la conversation du bûcheron avec sa femme sur le plan d’abandonner leurs
sept enfants au bois p.191. 3.
le plan du bûcheron et sa femme qui a été entendu par Le Petit Poucet p.192.
4. le ramasse des petits cailloux blancs par Le Petit Poucet p.192.
5. l’abandonne de « Le Petit Poucet » et ses frères au bois par les parents
p.192. Dans lanalyse paradigmatique, j’ai fait une analyse des personnages pour
trouver leurs comportements de sorte que je puisse trouver les violences qui s’est passé dans ce conte. Il y a 7 personnages, ce sont Le Petit Poucet, le bûcheron, la
xiii bûcheronne, l’Ogre, l’Ogresse, les frères de « Le Petit Poucet », et les filles de
l’Ogre. Mais je n’analyse que 2 personnages, ce sont Le Petit Poucet et l’Ogre comme les personnages principaux.
1 Le petit Poucet
Le petit Poucet est le personnage principal dans ce conte. Il avait sept ans. Il était petit, faible, et calme. Il s’appelait Le Petit Poucet parce que juste
après l’accouchement de sa mère, elle a trouvé Le Petit Poucet était si petit comme la pouce. En fait, Le Petit Poucet était le plus intelligent de ses frères,
mais il était toujours sous-estimé par ses six frères. Il a fait la violence psychologique quand il est allé à la maison de
l’Ogre pour tromper l’Ogresse. 1
Ce qui les chagrinait encore, cest que le plus jeune était fort délicat et ne disait mot : prenant pour bêtise ce qui était une marque de la bonté
de son esprit. Il était fort petit, et, quand il vint au monde, il nétait guère plus gros
que le pouce, ce qui fit quon lappela le petit Poucet. Ce pauvre enfant était le souffre-douleur de la maison, et on lui donnait toujours tort.
p.191 2
Cependant il était le plus fin et le plus avisé de tous ses frères, et, sil parlait peu, il écoutait beaucoup. p.191
3 Il alla droit à la maison de lOgre, où il trouva sa femme qui pleurait
auprès de ses filles égorgées. Votre mari, lui dit le petit Poucet, est en grand danger; car il a été pris par une troupe de voleurs, qui ont
juré de le tuer sil ne leur donne tout son or et tout son argent. p.199
2 L’Ogre
Dans ce conte, l’Ogre est un personnage qui aime avaler les petits enfants. Il sait la présence des petits enfants à leur insu. Le caractère de l’Ogre
était de traiter maladroitement. L’action de violence psychologique qu’il a faite est de menacer à tuer
Le Petit Poucet et insulter à sa femme. Ses traitements peuvent être catégorises
xiv comme des mesures de violence psychologique qui torturent complètement sa
femme. 4
Le mouton était encore tout sanglant, mais il ne lui en sembla que meilleur. Il flairait à droite et à gauche, disant quil sentait la chair
fraîche.
5 Ah dit-il, voilà donc comme tu veux me tromper, maudite femme Je
ne sais à quoi il tient que je ne te mange aussi : bien ten prend dêtre une vieille bête. Voilà du gibier qui me vient bien à propos pour traiter
trois ogres de mes amis, qui doivent me venir voir ces jours-ci. p.196
Par l’analyse des caractères des personnages, je conclus que presque tous les personnages ont fait la violence. Un seul personnage qui ne l’a pas fait est
femme de l’Ogre. Au contraire, elle est devenue la victime de la violence faite par Le Petit Poucet.
Les actions de violences se sont produites dans la maison de « Le Petit Poucet », la maison de l’Ogre, et la forêt. La maison de « Le Petit Poucet » est le
lieu où s’est passé souvent la violence psychologique. Cela se révèle par les mauvais traitements de ses frères, plus encore Le Petit Poucet a éprouvé un
sentiment injuste de sa mère. Mais la plupart des actions de violence se sont passées à la maison de l’Ogre. Surtout dans la salle à manger où il a déposé ses
petits animaux et dans la chambre de ses filles où l’Ogre a décapité leur tête. D’un autre côté, il s’est passé aussi la violence physique dans la salle à manger de
l’Ogre, indiquée par son action de menacer Le Petit Poucet et ses frères, ainsi les insultes dites par l’Ogre à sa femme.
G. LA CONCLUSION