LE CONTE L’ANALYSE SYNTAGMATIQUE

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B. LE CONTE

En général, le conte possède les fonctions récréatives, projectives, évaluatives, donne le contrôle de la communauté. Danandjaya 2002: 140-141. D’après Blask 1951 la violence est lutilisation de la force qui nest pas équitable et n’est pas justifiée, accompagnée dune grande émotion ou d’une colère dé contrôlée. http:www.oaseonline.orgoaseintimdoku2007ngantung_kekerasan.htm . Dans le KUHP à larticle 89, ce la se dit que faire la violence est d’utilisation de la force physique illégalement. Souvent, le problème de la violence implique des enfants. Leurs positions sont si vulnérables en raison de la faiblesse physique, sociale et culturelle. À cause de cela, les adultes peuvent exploiter leur faiblesse facilement. Étant victimes, ils n’ont pas de force de résister contre les adultes. Les facteurs de la pauvreté et les pressions de la vie qui ont augmenté, et qui sont accompagnés de colère ou de déception des adultes influencent les gens à faire la violence physiquement ou psychologiquement. Les enfants, comme des êtres humains faibles et vulnérables sont des victimes de leurs parents. Les formes de violence contenues dans la loi no. 23 en 2004 www.kowani.or.id sur lélimination de la violence domestique PKDRT, comprennent le mari, la femme, et les enfants. D’après cette loi ci-dessus, les formes de la violence sont : dans lequel le ménage dans la présente loi comprend mari, femme et enfants, à savoir: 1. la violence physique est un acte qui provoque la douleur, la maladie, la peine, ou de graves blessures, par exemple: l’assassiner, le massacre, etc. 2. la violence psychologique est un acte qui fait naître la peur, la perte de confiance, perte de la capacité dagir, de sentiment dimpuissance, des souffrances psychologiques, par exemple: l’humiliation, la menace etc. Roland Barthes, dans Nurgiyantoro 2005 : 47, dit qu’il y a 2 types d’analyse : l’analyse syntagmatique et paradigmatique. xi

C. L’ANALYSE SYNTAGMATIQUE

Barthes dit qu’une séquence de récit est réglée d’une façon linéaire, si bien qu’elle forme une relation horizontale. Les autres théories des séquences sont également soulevées par Schmitt et A. Viala dans Handayani 1994: 35. D’après eux : a. la séquence doit être centrée sur un point, par exemple, le même événement, le même chiffre, la même idée, ou la même pensée. b. la séquence doit confiner une période de temps et despace cohérente. Cela veut dire que quelque chose est arrivé en même lieu ou en même temps. c. en outre, les séquences qui ont une restriction comme mentionné ci- dessus, peuvent être des éléments dune plus grande séquence.

D. L’ANALYSE PARADIGMATIQUE