Introduction KESIMPULAN DAN SARAN

et le sens de message. Pour mieux comprendre le contexte, Hymes 1989: 53-62 développe des composants pour faciliter à identifier les composants d’interaction linguistique. Ce sont la scène, les participants, l’objectif de conversation, les séquences, le ton de la voix, la manière de parler, la norme, et le genre de conversation, ou SPEAKING. Après avoir compris le contexte, pour que la communication se déroule dans la meilleure condition possible, il est indispensable que les personnages dans la communication respectent la maxime de coopération. Grice via Rahardi, 2010: 53-58 divise cette maxime en quatre sous-maximes comme suivantes: 1 la maxime de la qualité. L’information partagée dans la conversation doit une réalité, 2 la maxime de la quantité. Les participants doivent fournir les informations qui se conformément aux besoins, ni moins ni plus, 3 la maxime de la relation. Elle exige que les participants fournissent l’information relation au problème discuté, 4 la maxime de la manière. Elle priorise la brièveté et évite une longue déclaration et l’ambiguïté. Dans la vie quotidienne, les participants ne respectent pas souvent les maximes de coopération dans le cadre d’atteindre quelques objectifs survenues pendant la conversation. Les motifs qui encouragent cette violation sont des implicatures. Grice divise les deux types d’implicature, ce sont l’implicature conventionnelle et l’implicature conversationnelle. D’abord, l’implicature conventionnelle est celle pragmatique qui se lie directement au sens d’un mot. Selon L. Mey 1994: 103-104, l’implicature conventionnelle est des inférences qui ne sont pas associées au principe pragmatique comme maxime, mais liées à l’utilisation de lexicale d’un discours. Ensuite, l’implicature conversationnelle est celle qui se lie avec le principe pragmatique. Elle peut être décomposée selon le contexte du discours, les participants, et les motifs communs parmi les personnes impliquées. Plus on comprend le contexte, plus on fait facilement l’hypothèse sur cette implicature dans la conversation.

C. Méthode

Le sujet de recherche est les dialogues dans la pièce du théâtre intitulée Villa Luco écrit par Jean-Marie Besset, tandis que l’objet consiste les formes des violations de la maxime de coopération et leurs implicatures. La collecte de données dans cette recherche se fait en utilisant la méthode de lecture attentive avec la technique de lire attentivement sans participation du chercheur dans le dialogue SBLC et la technique de prendre des notes à l’aide d’un tableau de données. L’analyse des données utilise la méthode d’identification pragmatique et référentielle. Ensuite, ces méthodes pratiquent de la technique de segmentation d’élément défini PUP et la technique de comparer l’élément identique HBS. La validité est fondée sur la validité du processus avec la technique de l’observation de la persévérance, tandis que la fiabilité est acquisée par le procédé d’intrarater et expert-judgement.

D. Résultat

La maxime de coopération se compose de quatre sous-maximes telles que la maxime de la qualité, la maxime de la quantité, la maxime de la relation, et la maxime de la manière. Elles exigent que les participants présentent la vérité, donnent l’information conformée aux besoins, relative, et brève. La violation de la maxime de coopération se passe si les participants ne respectent pas ces règles. La violation est acceptable quand les participants partagent la même compréhension dans la communication. On explique ci-dessous les exemples de violation de la maxime de coopération dans les dialogues de la pièce du théâtre Villa Luco. 1. La violation de la maxime de la qualité Gorka : Il ne veut pas que je vienne à Paris encore. Il a peur pour moi. Ce n’est pas de la confiance, ça? Pétain : Et s’il voulait seulement vous tenir à la violation? Quelle meilleure raison vous donnerait-il en effet? Il vous fiche dans une oubliette et vous dites merci. Voilà ce qui se passe Il faut vous l’écraser? Dans le dialogue ci-dessus, Pétain viole la maxime de la qualité. Il donne l’information qui ne se base pas à la vérité. Dans cette conversation, Pétain ne présente que son opinion sans pouvoir la prouver à l’avenir. Il essaie de convaincre et de manipuler la confiance de Gorka contre De Gaulle. De Gaulle n’a pas approuvé la demande de Gorka pour revenir à Paris reprendre son service comme soldat. Mais ce n’est pas une preuve que De Gaule abandonne Gorka comme la garde du prison. 2. La violation de la maxime de la quantité Pétain : C’est en Angleterre que vous avez appris? Gorka : Dans la banlieue de Londres. Il existe la violation de la maxime de la quantité dans le dialogue ci-dessus. Gorka fournit l’information excessive, tandis que la maxime de la quantité exige les participants de donner l’information conformée seulement au besoin, ni plus ni moins. Il suffit pour Gorka de répondre la question de Pétain en disant oui ou non.