voisée en français et [r] consonne vibrante apico-alvéolaire voisée, [e] voyelle orale aperture moyenne antérieure non arrondie, [k] consonne
occlusive dorso vélaire non voisée en indonésien.
C. CONCLUSION
Le résultat montre qu’il y a la différence et l’identité morphophonologiques des onomatopées en français et indonésien. La différence
se voit dans la forme syllabique, la quantité syllabique et le phonème composant l’onomatopée. Et puis, l’identité se voit dans la forme syllabique, la quantité
syllabique, et le phonème qui compose l’onomatopée. Il existe 105 onomatopées ayant de différentes formes syllabiques, 3 onomatopées ayant des quantités
syllabiques différentes, et 143 onomatopées ayant des différentes phonèmes composantes. Au niveau de d’attend, il existe 50 onomatopées ayant des formes
syllabiques identiques, 152 onomatopées ayant des quantités syllabiques identiques, et 12 onomatopées ayant des phonèmes composantes identiques.
C.1. Conclusion
a. Il existe la différence morphophonologique d’onomatopée en français et en
indonésien, c’est la forme syllabique, la quantité syllabique et le phonème qui composant. La syllabe forme deux types, c’est la syllabe ouverte et la
syllabe fermée. La différence de la forme syllabe se voit dans une même- onomatopée qui a la différente forme syllabique. La quantité syllabique
consiste en plus d’une syllabe. Il existe la différente quantité syllabique, et dans cette recherche est reçue seulement une onomatopée qui a la
différente quantité syllabique. Et puis, l’onomatopée est composée par la voyelle et la consonne. La composante du phonème qui compose dans une
onomatopée est différente, c’est parce qu’il y a une différence du phonème les unités minimales distinctives entre deux langues, en français et
indonésien. b.
Il existe l’identité morphophonologique d’onomatopée en français et en indonésien, c’est la forme syllabique, la quantité syllabique, et le phonème
qui composant. Cette identité est une représentation du bruit l’onomatopée qui a la même-forme syllabique, la quantité syllabique, et
le phonème qui compose de l’onomatopée.
C.2. Recomendation
Les futurs chercheurs peuvent continuer la recherche qui est pareil, mais les identifications des problèmes, l’objet et le but de la recherche sont différents. Il
est possible de faite un autre recherche du point de vue de la morphologique, car
celle-ci n’étude que le processus du changement morphophonologique.