L’énoncé “Me dis pas que tu crois aux contes, Ernest” de Ernest est un
acte directe non littéral. On appelle direct parce que Célestine utilise la phrase impératif pour exprimer une demande. Cette forme impérative est indiquée par
le verbe « dire » conjugué sans sujet à la forme « dis » pour la deuxième personne singulier « tu
». On appelle non littéral parce que le sens des mots de l’énoncé n’est conformément pas à l’intention qu’il veut dire. Célestine a l’intention
d’interdire Ernest de croire aux contes par dis “Me dis pas que tu crois aux contes, Ernest
”.
L’analyse des aspects de la parole du dialogue 51 sont: S : le matin près d’une poubelle devant une maison d’ours. P: Célestine P1 et Ernest P2.
E: interdire Ernest de croire aux contes. A : ce moment-là Célestine se présente
lui- même à Ernest. Il veut qu’Ernest et elle parlent sérieusement et demander
Ernest de ne pas croire aux contes, parce que d’après elle, Ernest n’est pas débile.
K : prononce aven l’intonation haute. I : transmis oralement. N : utilise la
française informelle. G: un dialogue.
Selon l’analyse des aspects de parole ci-dessus et regarde la scène présenté dans le dessin 16, on comprend que Célestine interdire Ernest de ne
croire pas aux contes, parce que pour Célestine, Ernest n’est pas un ours débile.
Donc, l’énoncé “Me dis pas que tu crois aux contes, Ernest” dit par Célestine
est un acte de parole directif en type des interdictions.
4. L’acte Indirect Littéral en Type Des Demandes
L’acte de parole directif en type des demandes est l’acte de parole directif qui exprime le désir de locuteur. Le locuteur veut que l’interlocuteur faire son
désir. C’est l’acte indirect littéral en type des demandes dans le film Ernest et Célestine.
Le dessin 18. Georges vend des gâteaux à son magasin et les enfants arrivent pour l’acheter.
53 Georges : Bonjour, bonjour, les enfants. Vous
allez bien? Les enfants ours : Oui.
L’enfant 1 : Je voudrais un gâteau à la crème.
Georges : Oui, un gâteau à la crème. Il donne un gâteau à
la crème
Contexte: le dialogue 53 se passe à la journée au magasin le roi du sucre de
Georges. Quand les enfants rentrent de l’école, ils vont au roi du sucre pour acheter des gâteaux ou des bonbons. Georges leur salue sympathiquement et leur
serve. Alors l’enfant ours 1 demande un gâteau à la crème et Georges en donne immédiatement. D’après ce contexte, on trouve que Georges comme
l’interlocuteur montre la réaction en façon de prendre un gâteau à la crème pour
l’enfant ours 1. Donc, on peut conclure que l’énoncé “Je voudrais un gâteau à la crème
” de Georges est un acte de parole directif.
L’énoncé “Je voudrais un gâteau à la crème” de Georges est un acte
indirect littéral. On appelle indirect parce qu’il emploie la phrase déclarative
pour demander quelqu’un. Cette forme déclarative est indiquée par le verbe “vouloir” conjugué avec le sujet je à la forme « voudrais ». On appelle littéral
parce que le se ns de mots constitue la phrase est conformément à l’intention du
locuteu
r. L’enfant 1 veut acheter un gâteau à la crème en disant “Je voudrais un gâteau à la crème
”,
L’analyse des aspects de parole SPEAKING du dialogue 53 sont : S: à la journée au roi du sucré de Georges. P
: L’enfant ours 1 P1 et Georges P2.
E : l’enfant ours 1 demande à Georges un gâteau à la crème. A : ce moment-là
Georges salue les enfants ours qui viennent de rentrer de l’école et s’arrêtent au
roi du sucre pour acheter des gâteaux ou des bonbons. Ils demandent à Georges ce qu’ils veulent acheter. K : se prononce avec l’intonation égale et plein
d’enthousiasme. I : transmis oralement. N : utilise la française polie. G : un
dialogue. Selon l’analyse des aspects de parole SPEAKING du dialogue 53 et
regarde la scène du film présenté dans le dessin 18 , on comprend que l’enfant
ours 1 dit “Je voudrais un gâteau à la crème” à Georges pour que Georges lui donne un gâteau à la crème qu’il veut acheter. Donc l’énoncé “Je voudrais un
gâteau à la crème
” est un acte de parole directive en type des demandes.
5. L’Acte Indirect Littéral en Type Des Conseils