Introduction Principe de la politesse Maxime de la politesse

viii RESUME Hartanto, Tri. 2010. La Politesse Dans Un Roman Le Dernier Jour d’un Condamné Par Víctor Hugo. Mémoire. Département des Langues et de Littérature Étrangère, Faculté des Langues et des Arts, Université d’État Semarang. Directeur I Dr. B. Wahyudi Joko Santoso, M.Hum. Directrice II Dra. Anastasia Pudji Triherwanti, M.Hum Mots clés : politesse, l’obéissance et la transgression du principe de la politesse, implicature, maxime.

1. Introduction

La langue est un moyen de la communication. Pour se communiquer bien avec les autres, il faut que l’homme sache le principe de la conversation. Ce principe s’appelle la politesse de la conversation. On peut trouver la politesse de la conversation dans un monologue, dialogue, ou bien polilogue qui peuvent être trouvés dans un roman, un drame etc. Le Dernier Jour d’un Condamné est un roman qui a été écrit par un grand écrivain français, Victor Hugo. Dans ce roman, il a utilisé le personnage «je» qui raconte les angoisses dun prisonnier qui a été condamné à mort pour ses actions dans le passé. Derrière les barreaux, il a parlé de lui-même du passé, de la famille, et les gens aimés autour de lui. La langue utilisée dans ce roman est parfois le registre courant et est moins poli. En plus, il n’y a pas seulement beaucoup d’obéissance mais aussi la transgression de la politesse dans ce roman. C’est pour quoi je décide d’analyser ce roman. Je parle trois choses, ce sont l’obéissance et la transgression, et les implications pragmatiques sur le principe de la politesse. L’objectif majeur de cette recherche est de décrire le principe de la politesse qui obéit et transgressé dans le discours monologue, le discours dialogue et le discours polilogue dans le roman le Dernier Jour d’un Condamné.

2. Principe de la politesse

Grice en Rustono 1999:66 affirme que le principe de la politesse est lié à la regle sur les choses qui sont dordre social, esthétique et morale dans lacte de parole. ix

3. Maxime de la politesse

Selon Leech 1983:206-219, il y a six maximes du principe de la politesse voir aussi Wijana, 1996:55-62; Rustono, 1999:70. Ce sont la maxime de la sagesse, la maxime de la générosité, la maxime de l’approbation, la maxime de la modestie, la maxime de l’accord, et la maxime de la sympathie. Ensuite, les principes de politesse seront decrits un par un comme suit. 1. Maxime de la sagesse Cette maxime est exprimée par les énoncés dispositifs les énoncés qui sont utilisés pour donner des ordres ou des messages et comissif discours qui sert à exprimer une promesse ou un offre. Cette maxime oblige á chaque participant a de faire les pertes des autres le petit possible, et b de donner un profit aux autres nombreusement. 2. Maxime de la générosité Cette maxime est aussi exprimée par les énoncés dispositifs et comissif. Elle exige chaque participant a de faire un profit le petit possible pour soi-même, et b de faire une perte le plus grand possible pour soi-même. 3. Maxime de l’approbation. Cette maxime peut être exprimée par une manifestation expressive des énoncés qui sont utilisés pour exprimer l’attitude psychologique de locuteur qui montre l’état d’object parole et par une assertifs discours couramment utilisée pour exprimer la vérité de la proposition exprimée. Cette maxime exige chaque participant a de critiquer des autres le petit possible, et b d’approuver des autres le plus grand possible. 4. Maxime de la modestie Cette maxime est également exprimée par les énoncés expressifs et assertifs. Cette maxime exige chaque participant a de se féliciter le petit possible, et b de critiquer soi-même le plus grand possible. x 5. Maxime de l’accord Cette maxime est également exprimée par les énoncés expressifs et assertifs. Cette maxime exige chaque participant a de veiller à ce que le désaccord entre le locuteur et l’interlocuteur le plus petit possible et b de veiller à ce que laccord entre le locuteur et l’interlocuteur le plus grand possible. 6. Maxime de la sympathie Cette maxime est également exprimée par les énoncés expressifs et assertifs, qui exige chaque participant a de réduire le sentiment dantipathie entre eux les participants de l’énoncé le plus petit possible, et b d’augmenter le sentiment de sympathie entre eux le plus grand possible.

4. Discours